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Voyez le fragment pour madame la marquise de Rambouillet, 1624 ou 1625, dans les Poésies de Malherbe, pag. 254 de l'édition Barbou. Tallemant paroît avoir cité de mémoire les vers que madame de Rambouillet disoit avoir été faits pour elle; nous croyons devoir les rétablir ici: Celle belle bergère,

Murat fit proposer au général Miollis, ainsi qu'au général Lasal cette, qui défendait Civita-Vecchia avec deux mille hommes, de retourner en France eux et leur garnison; ces deux généraux s'y refusèrent, et le roi laissa un corps d'observation chargé de bloquer ces deux places. En même temps il avait fait commencer le siège de la citadelle d'Ancône, s'était retiré le général Barbou. Toutefois, il n'y avait point encore d'hostilités ouvertes; mais le roi de Naples, suivi de neuf mille hommes d'infanterie et de quatre mille chevaux, ayant fait son entrée

Un comité d'organisation fut élu. Il se composait de MM. Edmond Bazire, Alfred Barbou, Emile Blémont, Delarue, Alfred

Elle fut composée en 1608. Voyez cette ode, pag. 103 du volume précité. La strophe dont les deux premiers vers sont rappelés ici est la cinquième dans l'édition de Barbou.

Edition Barbou, pag. 65. Le Roi la trouva admirable, et désira de le retenir

Quand il eut fait cette chanson qui commence: Cette Anne si belle, etc. , qui est une chanson pitoyable, Bautru la retourna ainsi: Ce divin Malherbe, Cet esprit parfait, Donnez-lui de l'herbe: N'a-t-il pas bien fait? Poésies de Malherbe. Edition Barbou, 1764, pag. 216.

Stances qui commencent par ce vers. Edition Barbou, pag. 28. «Et vous, lui répondit-il, vous avez bien mis: pa, ra, bla, la, fla. Moi, reprit des Yveteaux, vous ne sauriez me le montrer. N'avez-vous pas mis, répliqua Malherbe: «Comparable

L'arrivée de M. de Castaños rendait affreuse la position de la division Barbou, avec laquelle se trouvait Dupont. Les Espagnols s'attachèrent

Voyez dans les Poésies de Malherbe la paraphrase du psaume 8, pag. 60 de l'édition Barbou. Il demeura presque toujours en cette espèce de négligence durant la vie d'Henri IV, comme il se voit encore dans une des pièces qu'il fit pour lui, lorsqu'il étoit amoureux de madame la Princesse. Que n'êtes-vous lassées, Mes tristes pensées, etc. . Poésies de Malherbe, déj

Cependant M. de Castaños ne manqua pas de considérer que sa division Reding était, pour le moins, aussi compromise que l'était la division Barbou, et qu'en dernière analyse le combat qui avait eu lieu entre ces deux divisions, n'avait eu aucun résultat; il n'y avait point eu de perte d'artillerie, ni de bataillons pris , ni enfin aucun de ces événemens qui marquent le succès ou l'infériorité. Il considérait, en outre, que le corps de Dupont, réuni, lui serait supérieur par sa nombreuse cavalerie et son artillerie, et sa réunion était infaillible au bout d'une demi-heure d'efforts de la part du général Vedel, auquel il ne pouvait pas s'opposer, et qui était impatient de combattre. Il n'y avait pas cinq cents toises entre les postes de Vedel et ceux de Barbou. Il était bien, il est vrai, de sa personne