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Mis à jour: 12 juillet 2025
On peut considérer comme rentrant, mieux que les arts libéraux, dans le sujet traité par Vatsyayana, la description des qualités qui distinguent les femmes entre elles. En général, les auteurs indiens divisent les femmes en quatre classes d'après leurs caractères physiques et moraux. Le type parfait est la Padmini, ou la femme Lotus; il n'est sorte d'avantages qu'on ne lui attribue.
Obstacles aux rapports avec une femme mariée. Il est permis de séduire la femme d'un autre, si l'on court le danger de mourir d'amour pour elle . D'après Vatsyayana, on reconnaît qu'une jeune femme est ou non passionnée:
Complétons par des emprunts aux poètes les indications trop sommaires de Vatsyayana. Bouquets odorants, couronnes dont l'aspect réjouit le coeur, zéphir qu'agité l'éventail, rayon de la lune, parfum des fleurs, lac frais, poudre de sandal, vin clair, terrasse bien blanche, vêtements très légers, femmes aux yeux de lotus, tels sont les agréments que les heureux ont ici en partage, l'été.
Vatsyayana discute longuement les opinions des anciens sages sur la semence de la femme; nous préférons donner les résultats de la science moderne sur ces questions si vieilles.
Vatsyayana rattache
Mais Vatsyayana est d'avis qu'un mari ne doit point exposer sa jeune épouse
Mais Vatsyayana déclare qu'elle doit choisir celui qui lui donnera de l'or, parce que l'or ne peut être repris et qu'avec lui on se procure tout ce que l'on veut. Si tout est égal pour les dons
Il est facile et il convient, dit Souvernanabha, de s'unir de toutes les manières possibles étant dans le bain; mais Vatsyayana condamne toute connexion dans l'eau, comme contraire
Vatsyayana ne prévoit même pas comme possible dans l'Inde le refus de la femme. Ce cas se présente en Europe et il est réglé en théologie. Le père Gury dit: 915, I. «Il y a une obligation de justice, grave en principe, de rendre le devoir conjugal
[Note 6: Au temps de Vatsyayana, la philosophie Sankia et le Bouddhisme avaient complètement discrédité, au moins dans les hautes castes, les pratiques du Dharma brahmanique; ce n'était plus guère qu'une superstition populaire. On s'en aperçoit
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