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Mis à jour: 9 juin 2025


Le fameux marquis d'Argens témoigna, dans ses Lettres juives, quelque crédulité pour les histoires de vampires. Il faut voir, dit Voltaire, comme les Jésuites de Trévoux en triomphèrent: «Voil

Ainsi, et dès les premières lignes de son récit, Mérimée prend nettement position: il ne croit pas aux vampires, mais il cherche

Le premier consul croyait-il aux vampires? Question oiseuse. Personne ne croit aux vampires. Et cependant, parmi le grand fracas des nouvelles politiques, une sourde et sinistre rumeur glissait. Le mot vampire etait dans toutes les bouches. On dissertait, on commentait, on expliquait.

Selon une superstition populaire répandue non seulement chez les peuples slaves, comme on le veut quelquefois, mais aussi chez les Roumains, les Albanais, les Grecs modernes, les Allemands, les Anglais, les Irlandais , les vampires sont des morts qui sortent de leur tombeau pour venir sucer le sang des vivants pendant la nuit.

Ma prière finie, je fais le signe de la croix; aussitôt, la terre s'entrouvre et engloutit tous les monstres qui m'avaient épouvanté. Le jour me rendit les forces et le courage. Je me retirai et ne fus plus tenté d'aller voir les fêtes nocturnes. L'anecdote que nous allons raconter se trouve dans le voyage de Tournefort au Levant, et peut éclaircir les prétendues histoires des vampires.

C'est une chose véritablement curieuse que les procès-verbaux qui concernent les vampires. Calmet rapporte qu'en Hongrie, deux officiers délégués par l'empereur Charles VI, assistés du bailli du lieu et du bourreau, allèrent faire enquête d'un vampire mort depuis six semaines, qui suçait tout le voisinage. On le trouva dans sa bière frais, gaillard, les yeux ouverts, et demandant

On recommença les exécutions, on trouva dix-sept vampires auxquels on perça le coeur; on leur coupa la tête, on les brûla, et on jeta leurs cendres dans la rivière. Ces mesures éteignirent le vampirisme dans Médréïga. JEUNE FILLE FLAMANDE

L'auteur du Voyage en Bosnie avait, lui aussi, parlé des vampires: nouvelle preuve pour Mérimée que la «couleur» serait insuffisante s'il ne leur accordait une place importante dans la Guzla .

Mais si Mérimée, dans ses ballades vampiriques, s'est éloigné du véritable esprit populaire, il s'est écarté bien davantage de la poésie populaire serbo-croate qui ne chante jamais les vampires. Histoires de bonnes femmes, ce sont des récits que racontent parfois les vieilles grand'mères aux petits enfants dans les campagnes. Le guzlar rougirait de chercher son inspiration

Ce cas rappelle la légende très répandue des vampires dont l'origine pourrait peut-être se rattacher

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l'égaierait

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