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Mis à jour: 25 mai 2025
La première fête de la raison fut célébrée avec pompe le 20 brumaire (10 novembre). Toutes les sections s'y rendirent avec les autorités constituées. Une jeune femme représentait la déesse de la Raison; c'était l'épouse de l'imprimeur Momoro, l'un des amis de Vincent, Ronsin, Chaumette, Hébert, et pareils. Elle était vêtue d'une draperie blanche; un manteau bleu céleste flottait sur ses épaules; ses cheveux épars étaient recouverts du bonnet de la liberté. Elle était assise sur un siége antique, entouré de lierre et porté par quatre citoyens. Des jeunes filles, vêtues de blanc et couronnées de rosés, précédaient et suivaient la déesse. Puis venaient les bustes de Lepelletier et de Marat, des musiciens, des troupes, et toutes les sections armées. Des discours furent prononcés, et des hymnes chantés dans le temple de la Raison; on se rendit ensuite
N'obtenant point de réponse, il entra avec hésitation, souleva la portière et s'arrêta soudain devant un spectacle étrange. À l'autre extrémité de la pièce et en face de lui était une grande glace de toilette devant laquelle se tenait debout mademoiselle d'Estrelles, qui se trouvait ainsi lui tourner le dos: elle était vêtue ou plutôt drapée d'une sorte de peignoir en cachemire blanc sans manches, qui laissait
Ce tatouage, de couleur rouge, représentait un homme et une Indienne échangeant un baiser. Quoique les figures fussent grossièrement dessinées, on pouvait voir, en y mettant de la bonne volonté, que l'une, avec ses longues oreilles battant sur les épaules et son nez chargé d'ornements, était celle de la Grande-Femme; l'autre, vêtue en trappeur, celle de Mac Carthy.
Qu'avait-il donc vu dans cette mansarde? Une femme pâle, maigre, et misérablement vêtue, assise sur son grabat et tenant dans ses bras un enfant nouveau-né, qu'elle cacha avec épouvante derrière elle, en voyant un homme tomber du toit
Je marchais lentement, ils n'allaient pas vite non plus: ils suivaient d'assez près une vieille femme, vêtue d'étranges haillons, qui portait sur le doigt un perroquet de cent ans, et traînait au bout d'une ficelle un horrible petit chien noir.
On demanda aux gardes de la porte du palais s'ils n'avaient point vu sortir une princesse: ils dirent qu'ils n'avaient vu sortir personne qu'une jeune fille fort mal vêtue, et qui avait plus l'air d'une paysanne que d'une demoiselle. Quand ses deux soeurs revinrent du bal, Cendrillon leur demanda si elles s'étaient encore bien diverties, et si la belle dame y avait été.
Sa femme Bethsabée, de quinze ans moins âgée que lui, était de haute taille et entièrement vêtue de noir.
Il ne restait plus dans le café qu'une femme, assez jolie, qui, lasse d'attendre quelqu'un et de tourner les pages de journaux comiques, regardait André avec intérêt. Elle vit l'heure, fit un geste comme si elle prenait son parti. Vêtue sans excentricité, pâle, et d'une beauté sensuelle, elle s'approcha et au moment de lui parler, hésita, sortit.
Hâve, le teint pâle, les cheveux en désordre, les joues creuses, les yeux renfoncés, vêtue presque en haillons, cette brillante et joyeuse héroïne de tant de folles orgies n'était plus que l'ombre d'elle-même; la misère, la douleur avait flétri ses traits autrefois charmants.
Et comme je m'avançais obliquement, le cou tendu, je me sentis toucher le coude, et me trouvai en face d'une dame vêtue de noirs debout sur les marches, et j'appris que c'était ma cousine Edie. Je le savais, dis-je, et pourtant si elle ne m'avait pas touché, j'aurais pu passer vingt fois près d'elle sans la reconnaître.
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