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Les Arkansas, puissante nation de tout temps fort attachée aux Français, étaient tombés sur les premiers et en avaient fait un grand massacre; ils poursuivirent aussi les Tioux avec tant d'acharnement qu'ils les tuèrent jusqu'au dernier.

Les Anglais qui leur faisaient face se replièrent de leur côté, mais non sans tirer quelques coups de canon qui tuèrent trois soldats et en blessèrent trois autres. Du côté des Français on fit quelques reconnaissances qui furent peu inquiétées par les ennemis. Un seul homme fut blessé.

Le 1er octobre, les deux redoutes auxquelles les Américains travaillaient n'étant point encore finies, les ennemis ne cessèrent de les canonner. Ils ne tuèrent que deux hommes et ne purent interrompre le travail, qui ne fut achevé que le 5. Les Américains n'éprouvèrent plus que des pertes insignifiantes, le feu des ennemis s'étant très-ralenti pendant les deux derniers jours.

Les Turcs, ne voyant pas moyen de vaincre la résistance des Français, s'en vengèrent sur les malheureux chrétiens qu'ils avaient sous la main. Ils commencèrent par massacrer une partie des habitants du quartier européen; ils tuèrent plusieurs négociants, pillèrent leurs maisons, et enlevèrent leurs filles et leurs femmes. Ils recherchèrent ensuite ceux des Arabes qui étaient accusés de bien vivre avec les Français, et de boire du vin avec eux. Ils les égorgèrent, et firent, comme de coutume, succéder le pillage au massacre. Ils empalèrent un Arabe qui avait été chef des janissaires sous les Français, et qui était chargé de la police du Kaire; ils traitèrent de même celui qui avait été secrétaire du divan institué par le général Bonaparte. De l

Il parut nécessaire d'augmenter les provisions de viande conservée, et les chasseurs tuèrent des rennes et des lièvres.

Bien nous en prit d'être sur nos gardes, car peu d'instants après, sept ou huit Espagnols, dont deux montés, firent feu sur nous d'un buisson derrière lequel ils étaient blottis. Aucun de nous n'étant blessé, nos deux housards ripostèrent avec leurs carabines et tuèrent chacun un ennemi, puis, mettant le sabre

Les phoques étaient nombreux, et les chasseurs, armés de leurs épieux ferrés, en tuèrent aisément une demi-douzaine. Nab et Pencroff les dépouillèrent, et ne rapportèrent

Ainsi les chefs Danaens tuèrent chacun un guerrier. De même que des loups féroces se jettent, dans les montagnes, sur des agneaux ou des chevreaux que les bergers imprudents ont laissés, dispersés ç

»Pour me prier d'amener, elle m'envoya deux coups de canon qui me tuèrent un novice et me blessèrent trois hommes.

Les brigands dévastaient les deux parcs de Chantilly et en vendaient publiquement le gibier. Ils tuèrent deux officiers des chasses de M. le prince de Condé et blessèrent si gravement M. de Bonneval, officier du régiment de Berry, qui était venu