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Mis à jour: 6 juin 2025


Mais lorsque, sans me lisser fasciner par les panégyristes de Carleton, je me demande si ce fut bien lui qui, par la force de son courage ou de son génie, ou par les efforts d'une volonté intelligente, sauva le Canada lors de l'invasion de 1775, je ne peux me convaincre, malgré la meilleure volonté du monde, qu'il eût personnellement une bien grande part au succès de nos armes. Les capitulations successives du fort Chambly et de Saint-Jean, de Montréal et des Trois-Rivières d'où nous avons vu Carleton décamper devant l'ennemi avec une merveilleuse diligence, la timidité d'un général qui se laisse assiéger par des forces de beaucoup inférieures aux siennes sans jamais tenter une sortie contre l'ennemi, font beaucoup pâlir

«Beaucoup de lunes et d'années d'écoulèrent et l'aîné de mes onze fils avait dix-huit printemps, lorsque mes guerriers me proposèrent de descendre aux Trois-Rivières pour y faire la traite des pelleteries. Il y avait longtemps que nous n'y étions descendus, car depuis la mort de mon second père Champlain, les Iroquois étaient devenus, par leurs fréquentes victoires, la terreur des nôtres.

Evil qui, depuis le jour Alice avait quitté Québec pour suivre Marc Evrard, ne vivait plus que pour la vengeance, était monté aux Trois-Rivières avec les troupes royales, bien décidé de tout tenter pour rejoindre Evrard et le sacrifier

L'exploitation des mines de fer ne fut commencée aux Trois-Rivières que vers 1737. Elle fut d'abord dirigée d'une manière peu judicieuse. En 1739 les nouveaux fermiers étendirent et perfectionnèrent les travaux, et produisirent assez de ce métal, plus précieux que l'or, pour la consommation intérieure. Il en fut même exporté quelques échantillons qui furent trouvés d'une qualité supérieure.

D'Aillebout, son successeur, était venu en Canada avec des colons pour l'île de Montréal qu'il avait gouvernée en l'absence de Maisonneuve. Il avait été ensuite promu au commandement des Trois-Rivières, poste alors plus important que cette île, de sorte qu'il devait connaître le pays et ses besoins; mais il prenait les rênes du gouvernement

En 1671, M. de Courcelles voulant imposer aux Iroquois, décida d'aller les rencontrer au lac Ontario, que les Français nommaient alors le lac de Tracy, du nom du commandant des troupes. Il était accompagné de M. de Varennes, gouverneur des Trois-Rivières; de M. Pérot, nouveau gouverneur de Montréal; enfin de M. Le Moyne. Il voulut que le curé de Montréal, M. Dollier de Casson, fît partie de l'expédition; il le choisit

«Nous partîmes deux cent cinquante guerriers dont j'étais le premier capitaine. Nous descendîmes la rivière sans rencontrer un seul ennemi. Comme nous approchions du fort des Trois-Rivières, nous poussâmes nos canots au milieu des joncs du rivage pour faire notre toilette de fête et rafraîchir nos tatouages avant de paraître devant les Français.

Pendant ce temps, Montréal et Trois-Rivières avaient ouvert leurs portes aux insurgés, et Montgomery, qui suivait de près le gouverneur, rejoignait le général Arnold. Celui-ci, après six semaines d'une marche pénible, avait paru en face de Québec le jour même de l'arrivée du gouverneur; mais comme il ne lui restait plus que six cent cinquante hommes valides et qu'il ne pouvait songer attaquer Québec avec ce petit nombre de combattants, il était remonte jusqu'

La ville des Trois-Rivieres était alors un entrepôt considérable pour le commerce de pelleteries; c'était le rendez-vous des trafiquants et des sauvages. Cette petite ville,

Il comptait également sur le précieux concours que les Canadiens-français des Trois-Rivières et de Montréal lui avaient spontanément offert. Or, sur les dix heures, Frontenac vit une chaloupe partir du vaisseau amiral anglais et se diriger vers Québec. Elle portait un drapeau blanc et avait

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