Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 3 mai 2025
Le 17 octobre 1837, quatre mois après le mariage de M. le duc d'Orléans, sa seconde soeur la princesse Marie, épousait, au château de Trianon, le duc Alexandre de Wurtemberg, et moins de quinze mois après, elle mourait
J'écoutais sérieusement cet inconcevable discours; je me laissai guider par le fou. Il me mena au petit Trianon que je n'avais pas vu encore:
Au théâtre Trianon, M. Maurice Landay expose, dans la Loi de pardon, pièce en quatre actes, le cas d'un caissier qui s'est fait voleur par devoir, j'entends pour accomplir un acte de solidarité humaine et qui expie cruellement sa faute, le malheureux; les moeurs sont plus fortes que les théories humanitaires du président Magnaud, inspiratrices de cette oeuvre. La très réelle valeur dramatique de M. Landay et le talent d'interprétation de M. Barrai et de Mme Leriche vont assurer la faveur du public
Toutes les lignes d'architecture du grand Trianon étaient ornées de lampions de différentes couleurs; dans la galerie, on apercevait six cents femmes brillantes de jeunesse et de parure. L'impératrice adressa de gracieuses paroles
Quelle diversité je constate aujourd'hui! Voici d'abord M. Maurice Magnien, poudré, plein d'apprêts, avec d'exquis marivaudages. Ce qu'il aime, c'est le parc de Versailles, ses souvenirs, sa mélancolie et l'ombre de la Reine qui erre au Hameau et près des menus palais. Lisez Au petit Trianon.
Elle n'était nullement méchante, dans l'intérieur elle était fort aimée. Elle n'eût jamais de jeu cruel, ni de souffre-douleur, comme en avaient trop souvent les princesses (V. la Harcourt dans Saint-Simon). Mais elle aimait les farces, et le bas grotesque italien. Espiègleries parfois fort innocentes, comme la fête où d'Artois convalescent dut (captif et lié) souffrir les compliments des faux bergers de Trianon. Parfois c'étaient choses malignes, comme la comtesse d'Artois qu'on fit prendre, exposer devant tous dans un rendez-vous. Une chose fort cruelle fut faite pour amuser la reine, qui ne s'est jamais effacée de la tradition de Paris. Les dames de la Halle étaient venues pour une fête, superbes et familières, dans leurs royaux atours. Au dîner que donna le roi, les gardes du corps les grisèrent, et (dit-on) eurent l'indignité de mêler dans les vins de dangereuses drogues, qui leur firent dire et faire mille choses comiquement impudiques. Certaines se jetaient aux rieurs, se livraient elles-mêmes. Elles furent le matin rendues
Eh bien! je ne vous le dirai pas, et vous serez bien mieux convaincue encore. Comment cela? En me demandant pourquoi Gilbert a quitté Trianon, ce n'est pas une vérité que vous voulez constater dans ma réponse, c'est une chose que vous ne savez pas et que vous désirez apprendre. C'est vrai.
Mot du Jour
D'autres à la Recherche