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Mis à jour: 29 juillet 2025


Dans le joli petit poème suivant le refrain rappelle la même idée. Jamais je n'osai vous dire, dame, le grand bien que je désire; me voici en votre prison, faites de moi ce qui vous plaira. Jamais je ne vous ai rien dit des souffrances qui me sont venues de vous, dame; me voici en votre prison, traitez-moi mal ou bien.

Traitez-moi comme les mourans: leurs amis savent qu'ils vont périr, ils le savent eux-mêmes, mais ils évitent, mais on évite aussi autour d'eux de leur rien dire qui le rappelle; les mêmes ménagemens au moins me sont nécessaires....

Je ne vous comprends pas.... Eh bien, traitez-moi de visionnaire si vous voulez, mais je ne sais quel instinct me dit qu'il y a corrélation entre ces deux faits.... Entre la disparition de Biscarre.... Et celle de Mancal. Mais je vais plus loin: je ne joue pas au devin.

Adieu, ma chère petite maman; traitez-moi toujours avec bonté. Je vous embrasse de tout mon coeur, ainsi que mon ami Pierret. Nohant, 26 septembre 1831 C'est une désolation qu'un voyage de sept jours; je m'en afflige de mille manières: d'abord, parce que cela vous fatigue; ensuite parce que ces quinze jours perdus de la plus ennuyeuse manière du monde doivent faire pleurer votre mère.

Vous me menacez, imbécile? Allons, c'est cela, traitez-moi tout de suite d'imbécile, et quel ton! Vous devriez être enchanté, et vous... Je suis accouru tout exprès pour vous apprendre au plus tôt... Et pourquoi vous menacerais-je? Je me soucie bien d'obtenir quelque chose de vous par l'intimidation! Il me faut votre libre consentement, je ne veux point d'une adhésion forcée. Vous êtes une lumière, un soleil... C'est moi qui vous crains de toute mon âme, et non vous qui me craignez! Je ne suis pas Maurice Nikolaïévitch... Figurez- vous qu'au moment j'arrivais ici

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