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Mis à jour: 25 novembre 2025


La fiction teutonique, en général, est un peu lourde et très sentimentale, mais Son Fils, de Werner, excellemment traduit par Miss Tyrrell, est vraiment un récit hors ligne. On en ferait une pièce de premier ordre. Le vieux comte Steinrück a deux petits-fils, Raoul et Michel.

[Note 1: Ce chant, publié d'abord en 1774, par l'abbé Fortis, dans son Voyage en Dalmatie, avec une version italienne, puis traduit en allemand sur cette version par Gœthe, en 1789, fut comme l'introduction dans le monde littéraire des poésies serbes: c'est en partie

Nous regrettons qu'un homme érudit et cultivé, tel que sir Arnold, se soit rendu coupable d'une véritable trahison contre notre littérature. Sans cette erreur, son livre, sans être le moins du monde une œuvre de génie, ou même de haut mérite littéraire, aurait encore possédé une valeur durable. En somme, sir Edwin Arnold a traduit Saadi, et il faut que quelqu'un traduise sir Edwin Arnold.

Ce qui, traduit en français, voulait dire: Vrai Dieu! je crois que c'est lui qui se moque de moi. Qu'est-ce que c'est donc que cet homme qui ose se moquer d'un Suisse de Sa Majesté? CE QUI SE PASSAIT A L'EXT

Traduit par Mme H. LOREAU. (La suite

Quel tribunal prononcera le jugement? Telles étaient les deux questions essentielles qui allaient occuper les esprits, et qui devaient les agiter profondément. L'impression du rapport fut ordonnée sur-le-champ. Traduit dans toutes les langues, distribué

Au surplus, bien des choses qui paraissent grossières quand on les traduit du grec en français, sont exquises dans le grec. Quelque énormes qu'elles puissent sembler ici, encore on n'en laisse voir qu'une faible partie, dans le texte c'est la grâce même. Voil

Il croyait que les étudiants auraient traduit facilement ce latin de collège qui voulait dire: Ici un art ingénieux façonne les cheveux

Nous sûmes plus tard que Wellington, exaspéré contre le général Campbell, qu'il accusait d'avoir voulu laisser évader la garnison d'Alméida, faute d'avoir exécuté ses ordres, avait traduit ce général devant un conseil de guerre, et que Campbell s'était brûlé la cervelle de désespoir.

Je dois encore signaler comme un des incidents remarquables de ma vie, l'impression étrange et profonde que je reçus en lisant pour la première fois le Faust de Goethe traduit en français par Gérard de Nerval. Le merveilleux livre me fascina de prime-abord; je ne le quittai plus; je le lisais sans cesse,

Mot du Jour

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