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Mis à jour: 21 mai 2025


Au sortir de Vilna, nous nous trouvons engouffrés dans des forêts. Je quitte la tête de mon bataillon pour me porter derrière et faire suivre tous ces traînards, en plaçant mon petit musicien

Combien de temps avons-nous marché, l'Amiral et moi? Je l'ignore. Mais je sais que jamais je n'ai tant souffert de la chaleur, que jamais la soif ne m'a torturé ainsi. Il vient un moment , le corps en sueur, exténués, la gorge sèche, nous laissons tomber nos fusils par terre et nous nous étendons, haletants, sur le sable brûlant. Nous avons un doigt d'écume desséchée sur les lèvres; nous ne pouvons plus parler. L'Amiral me tire par le bras et me fait signe de nous remettre en route. allons-nous? Droit devant nous. Nous n'avons plus l'espoir de retrouver le camarade égaré. Il est mort, sans doute; il est tombé entre les mains des Arabes et l'on n'entendra plus jamais parler de lui, pas plus que de ces traînards qui,

Le général Lefebvre-Desnouettes, colonel des chasseurs de la garde, détaché depuis deux jours du quartier-général, avec trois escadrons de son régiment, ayant pris beaucoup de bagages, de femmes, de traînards, et trouvant le pont de l'Ezla coupé, crut la ville de Bénavente évacuée; emporté par cette ardeur qu'on a si souvent reprochée au soldat français, il passa la rivière

Il fit partir tous les traînards pour déblayer la grande route afin de faire passer son parc. Je reçus l'ordre de partir sous bonne escorte, il faisait nuit

Nos soldats ne purent que joindre l'arrière-garde, les traînards; ils firent prisonniers des sauvages que l'on nomme Kalmucks, avec de gros nez, des figures plates, des oreilles larges, et des carquois pleins de flèches. Ils étaient 1,800 hommes de cavalerie, mais nos gilets de fer tombèrent dessus et les chassèrent comme des moutons; ils étaient commandés par des officiers et sous-officiers russes. Nous eûmes la permission d'aller les voir dans leur camp; on leur faisait la distribution de viande, et de suite elle était dévorée par ces sauvages. Le 19 juin, nos troupes se trouvèrent en face des Russes qui avaient passé le Niémen et détruit tous les ponts. Le fleuve n'est pas large dans cet endroit; il coule au bas d'une belle rue très large qui traverse Tilsitt et qui est fermée par une espèce de caserne la garde russe était logée pour faire le service du souverain; il était campé au bout d'un lac sur la droite de la ville. L'Empereur arriva sur le Niémen avec la cavalerie; les Russes étaient de l'autre côté, sans pain; nous fûmes obligés de leur faire passer des vivres qui nous coûtaient des courses de six

Après avoir envoyé les blessés en avant et fait démonter les batteries, il ordonna aux troupes de battre en retraite. Elles s'ébranlèrent dans la nuit au milieu d'une pluie qui n'avait pas cessé depuis le commencement de la campagne. Le désordre et la confusion se mirent malheureusement dans leurs rangs. Nombre de blessés et de traînards tombèrent entre les mains de l'ennemi avec presque toutes les munitions de guerre et de bouche, la comptabilité générale, les rôles des troupes, les équipages. La perte fut énorme, parce qu'on avait fait des préparatifs pour passer l'hiver

Ce qu'il eût fallu, ce que Saladin avait rêvé, c'était la promenade autour des parcs sont les animaux; des allées, des venues, l'attention des enfants sans cesse excitée, Médor courant après les traînards, et madame Noblet ne sachant plus lequel entendre.

Les restes du régiment qui avait soutenu l'attaque se reformèrent rapidement et s'éloignèrent sur la droite, tandis que, chassant devant eux les traînards, les deux bataillons du 6ème chasseurs s'avançaient d'un pas pesant, régulier et cadencé. Sur le flanc gauche, du côté de Bagration, marchait le commandant de la compagnie; c'était un homme de belle prestance, dont la large figure avait une expression inintelligente et satisfaite, celui-l

FLUELLER. Tuer les traînards et les gens de bagage, c'est expressément contre les lois de la guerre, c'est une lâcheté, voyez-vous bien, une lâcheté sans pareille en ce monde. Shakespeare, Henry V.

En même temps, le grand murmure du lointain arriva: fantassins en marche, cavaliers dont le galop crépitait sur les pierres, lourds canons qui labouraient les routes. Et la voix des traînards français monta, disant: «C'est l'arméeEt tout redevint muet dans la clairière, que Jeanne croyait entendre respirer.

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