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Mis à jour: 8 mai 2025


Jane, s'écria-t-il, vous me torturez avec votre regard scrutateur, bien qu'il soit généreux et droit; vous me torturez! Et pourquoi, si ce que vous dites est vrai, si votre offre est véritable? vous savez bien que je ne puis éprouver pour vous que des sentiments de reconnaissance et de dévouement; qu'y a-t-il de douloureux l

Je ne le puis, je ne le puis, s'écria Maria; laissez-moi, si je vous tourmente, laissez-moi, haïssez-moi, abandonnez-moi, mais ne me torturez pas en exigeant l'impossible. Oh! combien il est facile

Teutons! qui, hier, nous flattiez pour nous endormir et qui, au mépris de vos serments, avez lâchement, par surprise, foulé aux pieds un petit peuple pacifique qui vous accueillait en amis, qui nourrissait et choyait vos pseudo-marchands devenus vos émissaires et vos espions; Teutons, qui depuis plus d'un an nous avez enlevé notre sainte liberté, qui nous opprimez et nous torturez dans tout ce qui nous est cher, qui nous avez réduits

Mais alors, expliquez-vous donc, monsieur! Ne voyez-vous pas que vous me torturez? Calmez-vous, de grâce! Répondez-moi! Eh bien! je vous ai dit la vérité! Mais je ne vous connais pas, je vous le répète. Je ne vous ai vu qu'au moment vous avez accompli votre infâme dessein.

Juste ciel! Monsieur, ne me torturez pas ainsi; Albert n'est plus!... Au dire des hommes, il est mort, je le sais; mais pour vous comme pour moi il est éternellement vivant. Si vous l'entendez dans un sens religieux et symbolique, c'est la vérité; mais si c'est dans un sens matériel...

La cause!... s'écria le meurtrier avec une sorte de rage, la cause? Vous ne voyez donc pas, monsieur, que vous me torturez effroyablement, sans pitié, moi, innocent, qui vous dispute ma vie. Depuis tant d'heures que vous me tournez et me retournez, je suis comme sur la bascule de la guillotine, et

Non, répondit Alice. Non? gronda le moine. Ecoutez, Clément, dit-elle avec une gravité, une tranquillité qui n'étaient peut-être qu'un excès de désespoir. Vous me torturez en me faisant ces propositions qui tiennent du rêve irréalisable... Pourquoi rêve? Pourquoi irréalisable? Doutes-tu de la puissance de mon amour? Je ne doute pas de ton amour. Clément!

Ah! vous êtes cruel, monsieur, s'écria-t-elle, vous êtes sans pitié!... Vous ne voyez donc pas tout ce que j'endure, et que vous me torturez comme il n'est pas possible!... Non, je n'ai rien

Oh! monsieur l'abbé, je me sens bien souffrante!... Pourquoi avez-vous commis ce forfait? M. de Mérigue vous aimait... Vous l'aimiez peut-être... N'est-il pas vrai? Monsieur l'abbé, vous me torturez.

Nous préférons encore la prose de Junius Alsata , qui, toute perfide qu'elle est, témoigne du moins d'une certaine culture d'esprit, bien qu'elle soit inspirée par des passions également intransigentes. Ecoutez sur quel ton il s'adresse aux administrateurs de la cité: "Vous aussi vous ne craignez pas d'exiger de vos pasteurs un exécrable serment, vous aussi vous torturez leurs consciences. Tantôt vous ne rougissez pas de les entourer de séductions pour les faire succomber, tantôt vous leur permettez les restrictions que leur prescrit le devoir, mais votre déloyauté omet ces restrictions dans un procès-verbal infidèle et travestit des officiers publics en insignes faussaires, tantôt les menaces triomphant de la pusillanimité, et les bayonnettes extorquent ce serment. Partout vous tenez vos malheureux pasteurs en suspens entre l'apostasie et la faim, entre l'infamie et la mort... Il en est parmi vous qui ont bu jusqu'

Mot du Jour

cuthbert

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