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Mis à jour: 4 juin 2025


Le chevalier et ses compagnons admirèrent fort les colonnes de marbre torses ou curieusement sculptées, et de diverses couleurs, qui ornent extérieurement cette cathédrale, ainsi que ses portes de bronze et une figure de la Vierge, en marbre blanc, qui en surmonte la façade occidentale. Ils trouvèrent le campanille fort agréable

C'était au fond de ces monastères hautains Que le dogme du Christ, ouvrant ses bras au monde, S'armait pour l'avenir et forgeait ses destins. Les moines travaillés de passion féconde, Portant des cœurs de fer dans leurs torses de feu, Trop lourds pour s'appuyer sur la raison fragile, Dans les buccins faisaient sonner le nouveau Dieu.

Ils filaient grand trot, la tête haute, la queue enroulée sur leur croupe. C'étaient des animaux longs de près de quatre mètres, oreilles droites, jambes courtes et torses, museau tronqué armé d'une seule corne, capable de formidables coups. Et telle est la dureté de leurs mâchoires qu'ils broyent impunément des cactus aux rudes piquants comme les ânes mangent des chardons.

Ces têtes de tout genre et de tout âge tournoyaient sur une mouvante cohue de torses vêtus de drap noir ou gris, de toile blanche, jaune ou rousse, de cravates voyantes, de cols de chemise dilatés.

Au grand soleil d'été qui fait les orges mûres, Et qui bronze vos chairs pesantes de santé. Flamandes, montrez-nous votre lourde beauté Débordante de force et chargeant vos ceintures. Sur des tas de foin sec et fauché, couchez-vous! Vos torses sont puissants, vos seins rouges de sève. Vos cheveux sont lissés comme un sable de grève, Et nos bras amoureux enlacent vos genoux.

Pas un muscle de son visage ne bouge; mais Laurent croit entendre panteler son coeur. Et les batteurs immobiles, torses nus, le coutil bridant leurs cuisses deux bronzes rosâtres dans le clair-obscur de la grange, baignés d'une sueur plus volatile que liquide, les batteurs attendaient aussi la nouvelle avec une certaine solennité. Une lettre de notre Jan, son frère, le «fils de la maison» ou de mon Frans, le promis, soldat

Monsieur, s'écria Rosa, ce Boxtel, cet Isaac Boxtel, qui se dit propriétaire de la tulipe noire... Et qui l'est en effet. Monsieur, n'est-ce point un homme maigre? Oui. Chauve? Oui. Ayant l'œil hagard? Je crois que oui. Inquiet, voûté, jambes torses? En vérité, vous faites le portrait, trait pour trait de M. Boxtel.

Des ruelles torses y dégorgent comme des goulots, et le Petit-Vair la coupe d'une ravine

Ah!... et pourquoi en êtes-vous parti?... Le gnome parut embarrassé. Il se dandina sur ses jambes torses avant de répondre.

Et j'ai vu des palais, des fêtes, des festins, Des femmes qui mêlaient leurs blancheurs aux satins, Des murs hautains ayant des jaspes pour écorces, Des serpents d'or roulés dans des colonnes torses, Avec de vastes dais pendant aux grands plafonds; Et j'entendais chanter: Jouissons! triomphons! Et les lyres, les luths, les clairons dont le cuivre A l'air de se dissoudre en fanfare et de vivre, Et l'orgue, devant qui l'ombre écoute et se tait, Tout un orchestre énorme et monstrueux chantait; Et ce triomphe était rempli d'hommes superbes Qui riaient et portaient toute la terre en gerbes, Et dont les fronts dorés, brillants, audacieux, Fiers, semblaient s'achever en astres dans les cieux. Et, pendant qu'autour d'eux des voix criaient: Victoire A jamais!

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