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Mais quand le troisième se trouva par un bond en pleine lumière, je tirai de la fonte de droite mon pistolet, je posai son long canon sur mon bras gauche et je fis feu sur lui au passage. La balle alla au but, car l'animal jeta un farouche hurlement de rage et de douleur, mais resta collé

Enfin l'heure sonna et au deuxième coup je tirai la sonnette du général. Mais en entrant dans le salon je m'arrêtai frappé au coeur; assis près du général mais tourné vers Clotilde,

Je tirai la corde de la soupape, et le baromètre commença

Lorsque la connaissance me revint, j'éprouvai une grande lassitude dans les jambes, je marchais encore mais d'un mouvement automatique. Je devais être bien loin, mon pauvre chien ne me suivait plus que difficilement, et le soleil était monté sur les onze heures du matin. Mon front était brûlant et je frissonnais parce qu'une fièvre ardente me dévorait. J'étais auprès d'un petit ruisseau coulait une eau fraîche et limpide; j'y trompai mon mouchoir et m'en enveloppai la tête; cette application me fit du bien. Je tirai ensuite de mon havre-sac quelques aliments, mais je ne pus pas même les approcher de ma bouche; je les jetai

«Je tirai donc Benedetto

Fernisoun l'avait arrosé ou saupoudré avec quelque drogue infecte qui m'aurait tué en peu d'heures, si je n'avais bu une burette d'huile, puis une fiole de glycérine. Je provoquai des vomissements salutaires. Je courus acheter du lait et, par bonheur, je m'en tirai sans médecin.

«Je n'avais pas abaissé mon arme que, pan! une autre détonation suivit et qu'une seconde balle me passa dans les cheveux. « Hum! me dis-je, il paraît que maître Lapierre attend mon feu pour mieux viser. Ce n'est pas si bête pour un coquin de son acabit. «Cette constatation faite, j'avançai de quelques pas et tirai

Enfin, je tirai mon manuscrit de Jane Eyre, et lus, tant bien que mal, le prologue et les trois premiers actes. Par malheur ou par bonheur, vous allez voir combien les desseins de Dieu sont impénétrables, le copiste qui m'avait promis de m'apporter les deux derniers actes de mon drame me manqua de parole.

Je tirai mon sabre du fourreau et, comme je ne pouvais rien voir, j'allai, tout en sondant, devant moi. C'est alors que je m'aperçus que l'objet sur lequel j'étais tombé et qui avait rendu un son sourd était un caisson dont je cherchai

Je tirai d'un bureau, je l'avais serré avec soin, un portefeuille, héritage de mon père; j'allai dans la campagne, et, repassant exactement par les sentiers nous avions marché ensemble, je vins m'asseoir sur le bord d'un fossé vous vous étiez reposée. L