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Mis à jour: 23 juin 2025


Cependant, maintenant qu'il a joué son prélude avec tant de sensibilité et de grâce, nous ne doutons point qu'il n'aborde des thèmes plus vastes et des sujets plus nobles, et ne réalise l'espoir qu'il exprime dans cette strophe de six vers: Car si par bonheur je venais

Le premier morceau contient deux thêmes, l'un et l'autre d'un caractère doux et calme. Le second, le plus remarquable selon nous, semble éviter toujours la cadence parfaite, en modulant d'abord d'une façon tout-

Cette prépondérance incontestée du style fait que l'invention des thèmes n'a pas un grand intérêt en littérature. Pour écrire un bon roman ou quelque drame viable, il faut ou élire un sujet si banal qu'il en soit nul ou en imaginer un si nouveau qu'il faille du génie pour en tirer parti, Roméo et Juliette ou Don Quichotte. La plupart des tragédies de Shakespeare ne sont qu'une suite de métaphores brodées sur le canevas de la première histoire venue. Shakespeare n'a inventé que ses vers et ses phrases: comme les images en étaient nouvelles, cette nouveauté a nécessairement conféré la vie aux personnages du drame. Si Hamlet, idée pour idée, avait été versifié par Christophe Marlowe, ce ne serait qu'une obscure et maladroite tragédie que l'on citerait comme une ébauche intéressante. M. de Maupassant, qui inventa la plupart de ses thèmes, est un moindre conteur que Boccace, qui n'inventa aucun des siens. L'invention des sujets est d'ailleurs limitée, encore que flexible

Dans la deuxième épreuve, on commente par écrit des thèmes choisis dans les cinq livres qui sont: le Chi-Kin, livre des vers; le Chou-Kin, histoire de l'antiquité; le Che-Kin, livre mystérieux, philosophique, et symbolique il est traité du Ciel et de la Terre, des oracles, des sorts; le Ly-Ki, livre des rites, qui enseigne les règles de conduite, la politesse, l'étiquette; puis une composition poétique s'inspirant d'une pièce de vers d'un poète célèbre.

Après ces morceaux, LL. MM. s'étant retirées, on a voulu continuer l'exécution du programme. M. Ganz, premier violoncelle de l'Opéra de Berlin, a joué avec beaucoup de talent une fantaisie sur des thèmes de Don Juan. Le jeune Moëser ensuite, dont on se rappelle le succès au Conservatoire de Paris, il y a un an, est venu dire un concertino de sa composition sur des thèmes de Weber. Quelle que soit l'opinion qu'on puisse avoir de sa composition, il faut reconnaître qu'on n'a pas plus de sûreté dans l'intonation, plus de pureté de style, ni plus d'ardeur concentrée; M. Moëser, en outre, fait avec autant de bonheur que d'aplomb la difficulté; il est incontestablement

Chopin a dégagé l'inconnu de poésie, qui n'était qu'indiqué dans les thèmes originaux des Mazoures vraiment nationales. Conservant leur rhythme, il en a ennobli la mélodie, agrandi les proportions; il y a intercalé des clairs-obscurs harmoniques aussi nouveaux que les sujets auxquels il les adaptait, pour peindre dans ces productions qu'il aimait

En effet les chants de croisade sont plutôt, ou sont tout autant des poésies historiques que des poésies religieuses. Les thèmes qui y sont développés n'ont rien d'original; ce qui y domine d'ordinaire, c'est la critique plus ou moins vive, suivant les tempéraments, de ceux qui, par lâcheté ou par négligence, laissent le «saint pays» aux mains des infidèles. Cette partie historique, et souvent satirique, a plus d'importance que l'autre, la partie religieuse. Le «chant de croisade» est devenu de bonne heure un genre, lui aussi un peu conventionnel et factice. Qu'il s'agisse des Sarrasins d'Espagne ou des Turcs de Syrie, c'est par les mêmes arguments que les troubadours cherchent

La faiblesse protégée. Un de ces thèmes, qui dénote de la part des noirs une sensibilité assez prompte

Le premier morceau contient deux thèmes, l'un et l'autre d'un caractère doux et calme. Le second, le plus remarquable selon nous, semble éviter toujours la cadence parfaite, en modulant d'abord d'une façon tout

Quatorze ans! Mais ça paye un assassinat bien fait! Et combien d'incendies, et quel nombre de meurtres, et quel tas de vols, et quelle masse d'escroqueries!... La prison? J'y suis habitué. Ça me serait bien égal, maintenant, d'en risquer un peu, pour quelque chose. La fabrication des abat-jour ne doit pas être plus agaçante que la confection des thèmes grecs; et j'aurais mieux aimé tresser des chaussons de lisières que de monter la garde... On ne me mettrait point en prison sans motifs, d'abord. Ensuite, j'aurais au moins, cette fois-l

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