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Mis à jour: 8 juillet 2025


J'ai essayé un peu de tout. Dans le Colorado j'ai travaillé aux mines et j'ai gagné une forte somme que le jeu m'a prise. Dans le Texas, j'ai fait de la culture et n'ai pas réussi. J'ai été agent d'émigration pour les Chinois vivants et de réexportation pour les Chinois morts. J'ai été officier au service du Pérou. En Colombie, je me suis un peu marié, mais si peu que j'espère que ma femme aura pu prendre un nouveau mari. A la Nouvelle-Orléans, j'ai été directeur de théâtre, et ç'a été mon beau temps: ayant des comédiens, des musiciens

La guerre terminée par la paix de Riswick, avait fait oublier le Texas et la Louisiane, la beauté du pays avait attiré cependant plusieurs Canadiens, qui en sont

L'aveugle berce un bel enfant La biche passe avec ses faons Le nain regarde d'un air triste Grandir l'arlequin trismégiste Sur la côte du Texas Entre Mobile et Galveston il y a Un grand jardin tout plein de roses Il contient aussi une villa Qui est une grande rose Une femme se promène souvent Dans le jardin toute seule Et quand je passe sur la route bordée de tilleuls Nous nous regardons

Achetée au Texas, d'un marchand mexicain, elle combattit les Indiens du Nord et du Sud, fit campagne aux montagnes Rocheuses, dans le Manitoba, m'accompagna dans un court et brillant pèlerinage

D'ailleurs elle accusait le Texas d'avoir une spécialité de fièvres paludéennes qui lui coûtaient, bon an mal an, plusieurs milliers d'habitants. Et elle n'avait pas tort.

Mais ce n'était point une distance pour l'effrayer: il en avait parcouru de plus longues sans chemins tracés quand il était officier au Pérou, ou gardien de troupeaux au Texas: la vie d'aventurier a au moins cela de bon qu'elle donne de l'initiative

J'en avais assez appris cependant pour savoir ce que c'était que la clef de fa. En outre, je pouvait très-bien exécuter une gamme, en passant le pouce sans déranger la fixité du poignet. On n'avait pas d'appui-main au collège, et la gymnastique des doigts était fort ennuyeuse. Plus tard, étant campé dans les prairies du Texas, près du Fort-Concho, je devins possesseur d'un piccolo.

Merci, fit l'indien. Et il continua: Ne soyez pas surpris de me voir vous parler comme je le fais. Je vous l'ai dit, je suis chrétien. Le sang indien n'est pas le seul qui coule dans mes veines; il est mêlé au sang espagnol. Ma mère venait de l'Espagne. Elle m'a bien aimé, ma mère, et je lui garde un culte sacré. Je n'ai pas vu le jour dans ces lieux sauvages; je suis dans le beau pays du Texas. J'aime votre belle langue. Je connais votre fleuve sans pareil, le grand St. Laurent. J'ai vu Québec sur son rocher et Montréal au pied des grands rapides. J'irai vivre encore au milieu de vous, car les coutumes barbares de mes frères indiens me font mal, et je travaille vainement

Ce traité, fait double et de bonne foi, fut signé par I. Barbicane, président du Gun-Club, et J. Murchison, directeur de l'usine de Goldspring, qui approuvèrent l'écriture de part et d'autre. Depuis le choix fait par les membres du Gun-Club au détriment du Texas, chacun en Amérique, tout le monde sait lire, se fit un devoir d'étudier la géographie de la Floride.

Ces réflexions ne m'empêchaient pas cependant de chercher avec ardeur au fond de la terre les légumes de mon nouveau patron. Dix longs jours se passèrent avec cette besogne, et enfin je pus m'embarquer pour le Texas. Le voyage fut assez long, et, après d'émouvantes péripéties, trop compliquées pour être racontées ici, nous touchâmes

Mot du Jour

chauvelin

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