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Enfin, Dieu se manifesta au pueblo terrorisé. La rue se trouvent le quartier et le tribunal était encore déserte et solitaire; aucune maison ne donnait signe de vie.

Le public était constamment terrorisé par des émeutes, des assassinats, par mille autres actes de violences dont la Nouvelle-Orléans, en particulier, était devenue le théâtre.

Le Roi, ainsi terrorisé, ne fit plus guère attention aux cris de cinquante évêques qui criaient pour les Jésuites. Il laissa le Parlement brûler leurs livres, leur défendre d'enseigner, de confesser. En octobre 61,

Il ne songeait pas un instant que sa grâce pût être refusée. Durant de si longs mois il avait, par ses muscles de colosse, ses fureurs, son audace, si bien terrorisé tout un quartier, qu'il se demandait comment on avait osé l'arrêter, et qu'il s'imaginait maintenant quon y regarderait

Si Hérault, la Police, lui restaient, elle avait des chances. Par le procès de Des Chauffours, elle eût terrorisé Versailles, mignons, évêques, etc. Mais Hérault la trahit. Il reçut le mot d'ordre d'en haut, agit contre elle, il lui prit son Voltaire. Admirable prison de grâce et de vengeance, la Bastille

Ainsi, le village était terrorisé. Le travail des champs était entièrement délaissé. On se tenait chez soi, portes et fenêtres closes. Maître Koltz ne savait quel parti prendre pour ramener chez ses administrés une confiance qui lui faisait défaut, d'ailleurs,

Oui, je me souviendrai de ça. Et je saurai, aussi, que le Respect est un chat malfaisant et sans vigueur, chaussé de bottes de gendarme, qui terrorise la canaille au profit de très vil et très puissant seigneur Prudhomme de Carabas. Viendras-tu ce soir chez les Montareuil? me demande mon oncle. Non; je ne crois pas.

Si longs et si sombres que fussent les jours dans Paris terrorisé, ils passaient cependant. Malheureusement, le temps s'écoulait sans que se montrât au ciel un seul coin bleu. Ni l'été, ni l'automne de 1793 ne virent la fin des tragiques péripéties commencées au mois de janvier, et l'hiver de 1794 arriva.

On les ramassait morts, au matin, dans un champ, au bord d'une cour, dans un fossé. Leurs chevaux eux-mêmes gisaient le long des routes, égorgés d'un coup de sabre. Ces meurtres semblaient accomplis par les mêmes hommes, qu'on ne pouvait découvrir. Le pays fut terrorisé.

Puis, avec son amertume de faible, toujours terrorisé et vaincu: Je vous avais bien prédit que vous finiriez par faire ce qu'il voudrait.