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Mis à jour: 7 juillet 2025


Le plus important m'échappe. Ce que je désirais, ce que je désire encore aujourd'hui, c'est de voir le Pompile aux prises avec la Lycose. Quel duel, la ruse de l'un doit maîtriser les terribles armes de l'autre! L'hyménoptère pénètre-t-il dans le terrier pour surprendre la Tarentule au fond de son repaire? Ce serait témérité pour lui fatale. le gros Bourdon périt

Le fermier avait beaucoup bu pour se donner de l'aplomb avant d'aller insulter Grand-Louis sur le terrier. En revenant, il avait encore bu pour se calmer et se rafraîchir. En troisième lieu, il avait bu pour conjurer la tristesse répandue autour de lui et chasser les idées noires qui le gagnaient. Son pichet de faïence

Supposons le Scarabée assez heureux pour avoir trouvé un associé fidèle; ou, ce qui est mieux, supposons qu'il n'ait pas rencontré en route de confrère s'invitant lui-même. Le terrier est prêt. C'est une cavité creusée en terrain meuble, habituellement dans le sable, peu profonde, du volume du poing, et communiquant au dehors par un court goulot, juste suffisant au passage de la pilule. Aussitôt les vivres emmagasinés, le Scarabée s'enferme chez lui en bouchant l'entrée du logis avec des déblais tenus en réserve dans un coin. La porte close, rien au dehors ne trahit la salle du festin. Et maintenant vive la joie; tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes! La table est somptueusement servie; le plafond tamise les ardeurs du soleil et ne laisse pénétrer qu'une chaleur douce et moite; le recueillement, l'obscurité, le concert extérieur des grillons, tout favorise les fonctions du ventre. Dans mon illusion, je me suis surpris

Dans le terrier de l'abbaye de Saint-Germain des Prés, de 1523, on lit: «Maison rue du Four, faisant le coin de la rue Copieuse pend le SabotLe mot Sabot remplaça celui de Copieuse qui sait par quel caprice populaire? Deux portes de bois treillissées et armées de fichons de fer la ferment par les deux bouts.

Suivons maintenant l'Hyménoptère lorsque, le terrier étant prêt, il va retrouver sa victime, abandonnée non loin de l

Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre, À côté des fourmis, les populations; Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre, J'ignore en les portant les noms des nations. On me dit une mère, et je suis une tombe, Mon hiver prend vos morts comme son hécatombe. Mon printemps ne sent pas vos adorations

Délogée, la Trouille sentit qu'elle était perdue. Un coup de fouet, qui l'enveloppa aux aisselles, la fit virer comme une toupie; un autre la culbuta, en lui arrachant une mèche de cheveux. Dès lors, ramenée dans le bon chemin, elle n'eut plus que l'idée de rentrer au terrier, le plus vivement possible. Elle sauta les haies, franchit les fossés, coupa

Dans une de ces fosses, transformée en terrier humain, trois hommes étaient réunis, accroupis sur un monceau de débris animaux ou végétaux, et éclairés faiblement par une lanterne qui jette un reflet jaunâtre. Ces hommes, nous les connaissons.

Surprendre l'Hyménoptère en chasse n'est pas chose aisée; vainement on s'armerait de patience pour épier le ravisseur aux environs du terrier: l'occasion favorable ne se présenterait pas, car l'insecte s'envole au loin, et il est impossible de le suivre dans ses rapides évolutions.

C'est le même Diptère qui, embusqué aux environs du terrier, cause au Bembex de si vives appréhensions. La terreur de l'Hyménoptère n'est que trop fondée. Voyez, en effet, ce qui se passe au logis. Autour du monceau de vivres, que la mère s'exténue

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