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Mis à jour: 24 juin 2025
Pour le monde, il feignit d'abord d'oublier George Sand. A son ami Tattet, qui était
Le 12 novembre, il écrit au vigilant Tattet dont il sait l'influence si redoutée de Celle qu'il veut fuir: «Tout est fini. Si par hasard on vous faisait quelques questions, si peut-être on allait vous voir pour vous demander
Doute-t-on du témoignage de Pagello en faveur de la sollicitude vraiment maternelle de George Sand? Il est corroboré par le plus intime ami de Musset, Alfred Tattet, qui, de passage
Dans cette crise de quelques jours, qui pesa comme une éternité sur son coeur, une visite inattendue vint tempérer les amertumes de Musset. Il avait un grand ami, Alfred Tattet, le meilleur de ses amis après son frère Paul qui fut le confident de toute sa vie. Fils d'un agent de change parisien, intelligent, mondain, artiste, élégant, désoeuvré, Tattet menait largement l'existence du dandy cultivé, où, plus fortuné, Musset l'eût suivi sans doute, au détriment de son génie. Les deux amis n'en partageaient pas moins les mêmes plaisirs. Et Musset faisait chaque automne de longs séjours chez les parents de Tattet,
Alfred Tattet avait déconseillé Musset de renouer des relations qui brûlaient sa vie. Ne parvenant pas
Il souffrit cruellement tandis que son sort s'accomplissait. Son frère raconte comment, en 1839, il fut sur le point de se tuer. L'année suivante, Alfred Tattet montra
Peut-être retournerait-il vers elle, le tendre enfant, le poète que Lamartine appellera «jeune homme au coeur de cire.» Mais il redoute le jugement des salons esthétiques et le blâme de M. Tattet, «qui dirait d'un air bête: «Dieu! quelle faiblesse!» lui qui pleure, quand il est saoûl, dans le giron de mademoiselle Déjazet.» Ah! elle regrette maintenant avec amertume les folies de Venise. Si elle avait su! «Je me serais, s'écrie-t-elle avec frénésie, je me serais coupé une main, je te l'aurais présentée en te disant: «Voil
A son retour, il écrit au fidèle Tattet: «Rien n'élève le coeur et n'embellit l'esprit comme ces grandes tournées dans le royaume.
Ce n'est pas seulement le doute, c'est une parfaite incrédulité que nous inspire le récit de Paul de Musset. Il ne revêt aucun caractère de vraisemblance. Il se produit après la mort du poète, qui par tous ses actes, par toutes ses lettres, l'a implicitement démenti. Il est rédigé en des termes déclamatoires et mélodramatiques qui ne sont pas le style d'Alfred de Musset. Il est inconciliable avec l'impression qu'Alfred Tattet rapportait de Venise, avec la plus élémentaire pudeur féminine, avec ce respect dû
Mme Jaubert, la «marraine» de Musset, avait conservé un précieux recueil de dessins de son «filleul». Toute sa société y figurait. On sait qu'autour de 1840, Mme Jaubert eut le salon le plus remarquable de Paris. Cet album a été perdu. Un dernier album, celui d'un cher ami du poète, Alfred Tattet, appartient
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