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Mis à jour: 9 juillet 2025
Et ma tante était restée toute seule dans sa bizarre petite maison où les tapis étaient faits d'échantillons cousus, les tables couvertes de coqs, de poules et de chats en papier mais où les murs étaient tapissés de vieux diplômes, de portraits de défunts, de médaillons en boucles de cheveux morts.
Les tombes sont des Bouddhas de granit, assis dans des lotus, ou des bornes funéraires avec des inscriptions d'or; elles se tiennent groupées dans de petits enclos au milieu des bois, ou sur des terrasses naturelles agréablement situées; on y arrive généralement par de longs escaliers de pierre tapissés de mousse, en passant de temps en temps sous quelqu'un de ces portiques sacrés dont la forme, toujours la même, est rude et simple, et qui sont une réduction de ceux des temples.
C'était une pièce éclairée par une fenêtre en ogive. Les murs étaient tapissés de cuir bosselé d'or; un grand lit de noyer massif,
Ces roches étaient tapissés de grandes herbes, de laminaires géants, de fucus gigantesques, un véritable espalier d'hydrophytes digne d'un monde de Titans.
Il n'y a pas, dans nos administrations, de pauvre bureau qui ne voie, dans ses quatre murs tapissés de papier vert, toutes les convoitises et toutes les haines qui s'allumèrent dans le Vatican, sous la papauté espagnole. Mais la bête humaine y est moins vigoureuse, moins ardente, moins fière; le tigre royal est devenu le chat domestique. Au fond, l'affaire est la même: il s'agit de vivre, et cela seul est déj
En ce moment s'ouvrit devant nos pas une vaste grotte, creusée dans un pittoresque entassement de rochers tapissés de toutes les hautes-lisses de la flore sous-marine. D'abord, cette grotte me parut profondément obscure. Les rayons solaires semblaient s'y éteindre par dégradations successives. Sa vague transparence n'était plus que de la lumière noyée.
On y sent une odeur vieillotte de camphre, d'oiseaux empaillés, de je ne sais quoi de mort, et il y fait triste, ce soir, indiciblement... J'ouvre la fenêtre... Mais je crois que tout y est plus lugubre, au contraire, quand j'y ai fait pénétrer les rayons d'un soleil de soir d'octobre... Ah! une guêpe y est entrée en même temps... Oui, je me rappelle qu'autrefois il y venait aussi beaucoup de guêpes, car ce cabinet donne sur des jardins, de vieux jardins de province un peu trop enclos, mais dont les murs sont tapissés de vignes et de rosiers...
Ah! les marguerites dans les prés, les petits sentiers, sous les feuilles qui tremblent... les nids cachés dans les touffes de lierre, aux flancs des vieux murs... Et les rossignols dans les nuits de lune... et les causeries douces, la main dans la main, sur les margelles des puits, garnis de chèvrefeuilles, tapissés de capillaires et de mousses!... Et les jattes de lait fumant... et les grands chapeaux de paille... et les petits poussins... et les messes entendues dans les églises de village, au clocher branlant, et tout cela, qui vous émeut et vous charme et vous prend le coeur, comme une de ces jolies romances qu'on chante au café-concert!...
Cette association, qui se fait malgré moi entre les soirées de mai, l'odeur de ces fleurs et le temps passé, je lui trouve beaucoup de charme. Je me l'explique d'ailleurs assez facilement. D'abord, le jasmin est une plante de mode ancienne; les vieux murs de notre maison familiale, dans l'île d'Oléron, en sont tapissés depuis deux ou trois siècles. Et puis surtout, un soir, dans mes commencements
L'une surtout, avec son toit et ses murs tout tapissés de chèvrefeuilles, liserons, convolvulus, clématites et autres plantes grimpantes, semblait une corbeille de fleurs, tant l'or, l'émeraude, l'écarlate, l'azur, l'ornaient de leurs vives couleurs.
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