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Mis à jour: 9 mai 2025


De l'avis même de Rarahu, Taïmaha était une incompréhensible créature qu'elle avait

Quand nous eûmes marché quelques minutes dans l'obscurité, sous la voûte des grandes palmes mouillées de pluie, nous trouvâmes un abri de chaume, deux vieilles femmes étaient accroupies devant un feu de branches. Sur quelques mots inintelligibles prononcés par Taïmaha, les deux vieilles se dressèrent sur leurs pieds pour mieux me regarder, et Taïmaha elle-même, approchant de mon visage un brandon enflammé, se mit

Voici, dit Tatari, les personnes de la famille de Taïmaha; l'enfant que tu cherches doit être l

Taïmaha souriait de son éternel sourire en baissant les yeux comme un enfant pris en faute, mais qui n'a pas conscience du mal qu'il a fait et n'en éprouve aucun remords. Loti, dit Rarahu en anglais, Loti, pardonne-lui!

J'écartai le voile et découvris la figure connue de Faïmana, qui se sauva en éclatant de rire... Faïmana ne me dit point quelle aventure amoureuse l'avait amenée dans cet endroit elle était vexée de m'avoir rencontré; elle n'avait jamais entendu parler de Taïmaha, et ne put me donner sur elle aucun renseignement...

Mea maitai! Les oiseaux avaient conservé un de leurs plus grands charmes; déplumés, souffreteux, ils chantaient tout de même, et la petite reine les écoutait avec ravissement. Papeete, 28 novembre 1873. A sept heures du matin, heure délicieuse entre toutes dans les pays du soleil, j'attendais, dans le jardin de la reine, Taïmaha,

Il y avait très loin, de ce lieu au district de Mataveri qu'habitaient les parents de Taïmaha et le fils de mon frère. Le chef Tauïro me donna pour guide son fils Tatari, et nous partîmes tous deux par un sentier

A l'approche du départ, j'étais étrangement obsédé par la pensée de cette Taïmaha, qui avait été la femme de mon frère Rouéri. Il m'était extrêmement pénible, je ne sais pourquoi, de partir sans la connaître, et je m'en ouvris

Et je ne pouvais prendre mon parti de m'éloigner pour toujours sans l'avoir vu. Taïmaha, dis-je après un moment de réflexion silencieuse, nous allons partir ensemble pour l'île de Moorea. Tu ne peux pas refuser au frère de Rouéri de l'accompagner dans son voyage chez ta vieille mère, pour lui montrer ton fils.

Vers huit heures, le Rendeer leva l'ancre au son du fifre. Alors je vis Taïmaha, qui, elle aussi, descendait

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