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Mis à jour: 20 juin 2025


Terre aux grands deuils suivis d'éclatants lendemains, Noble Gaule, pays de l'antique vaillance, Qui sus toujours unir, merveilleuse alliance Au pur esprit des Grecs, l'orgueil des vieux Romains, Toi qui portes au front Paris, l'auguste étoile Qui de l'humanité dirige au loin la voile, Nous, tes fils éloignés, nous t'aimons, tu le sais!

O Peuple, nous t'aimons immensément: N'es-tu donc pas la pauvre âme ignorante En proie

Et nous aussi nous t'aimons tant, mon bon François, dit Christine

Nous avons ragé politique; nous tâchons de n'y plus penser et d'avoir patience. Nous parlons de toi souvent, et nous t'aimons. Ton vieux troubadour surtout, qui t'embrasse de tout son coeur, et se rappelle au souvenir de ta bonne mère. Nohant, 24 décembre 1867. Cher ami,

Bonsoir, cher bon ami de mon coeur. Mon Dieu! ne travaille et ne veille pas trop, puisque, toi aussi, tu as des maux de gorge. C'est un mal cruel et perfide. Nous t'aimons et nous t'embrassons tous. Aurore est charmante; elle apprend tout ce qu'on veut, on ne sait comment, sans avoir l'air de s'en apercevoir elle-même. Nohant, 3 avril 1870.

Nous t'aimons, reprirent les deux jeunes gens; chacun de nous désire t'épouserLa belle était une fille bien élevée; elle appela son père, qui écouta les deux prétendants et leur dit: «Il se fait tard, retirez-vous, et revenez demain; vous saurez alors qui des deux aura ma fille. Le lendemain, au point du jour, les deux jeunes gens étaient de retour.

À ces mots, Camille, Madeleine, Marguerite se précipitèrent vers Sophie, l'embrassèrent, la serrèrent dans leurs bras. «Ma pauvre Sophie, disaient-elles toutes trois, ne pleure pas, nous t'aimons bien; viens nous voir souvent, nous tâcherons de te distraireSophie sécha ses larmes et essuya ses yeux....

Divorcer! Tu veux divorcer! Mais mon fils t'adore. Mais nous t'aimons tous, ici! Mais tu es la joie de nos yeux!"

A ces mots, Camille, Madeleine, Marguerite se précipitèrent vers Sophie, l'embrassèrent, la serrèrent dans leurs bras. «Ma pauvre Sophie, disaient-elles toutes trois, ne pleure pas, nous t'aimons bien; viens nous voir souvent, nous tâcherons de te distraireSophie sécha ses larmes et essuya ses yeux.

En raisonnant ainsi, continua madame Haupois-Daguillon, nous ne voulons pas, comme certains parents égoïstes, nous décharger au plus vite de la responsabilité qui nous incombe, et il n'est nullement dans nos intentions d'avancer le jour nous nous séparerons. Nous t'aimons, ton oncle et moi, avec tendresse, et ce sera un chagrin pour nous que cette séparation, un chagrin très-vif, je t'assure. Cela dit, je reviens

Mot du Jour

huancas

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