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Oh! ce serait mourir, s'écria Suzanne. Mon Dieu! que faire? reprit Geneviève. Le tirer de la Bastille avec un ordre du ministre, continua le sergent. Il ne le voudra pas! Il ne l'a pas voulu! dirent

Comme on servait un plat: Encore ces maudits oeufs brouillés aux pointes d'asperges! s'écria mon gendre. Je ne puis les souffrir, vous le savez, Suzanne! J'avais défendu qu'on en resservît jamais

C'est la timidité, peut-être.... hasarda Suzanne. Lui timide?.... Allons donc ma soeur, tu n'y penses pas! Le gaillard ne navigue pas dans ces eaux-l

Ici, le maître s'interrompit un instant, et, visiblement oppressé par le souvenir tragique, il fit quelques pas autour de son bureau en silence. Puis il s'arrêta devant un admirable portrait de femme, pastel rayonnant, qui illuminait tout son cabinet: Regardez, me dit-il, c'est elle, ma bien-aimée Suzanne,

N'aie pas peur, ma petite Suzanne; je veux seulement te demander quelques détails sur la belle poupée de Jeannette. Est-il vrai qu'elle a une poupée très jolie et très bien habillée? Pour ça, oui, madame; elle est tout

Eh bien! madame, la volonté de M. de Louvois est, en quatre mots, que vous m'épousiez. Mme d'Albergotti rougit comme une fraise et poussa un léger cri. Oui, madame, que vous m'épousiez! répéta le comte en s'inclinant. Mais c'est une folie! s'écria Suzanne tout étourdie. Pour vous, madame, je suis assez de cet avis; mais permettez-moi de croire qu'il n'en est rien de mon côté.

Nous ne pouvions pourtant pas nous en aller de ville en ville, au risque d'être reconnus par quelqu'une de mes nombreuses relations. Ce n'était pas pour Suzanne que je craignais; elle avait tant changé que des indifférents l'auraient vue passer sans songer

Ma place est ici. Soldat, je me battrai comme un soldat. Mais Belle-Rose avait dans ce moment tout l'égoïsme de l'amour; lui aussi voulait un peu de cette joie que savouraient Claudine et Cornélius. Comme ces talismans qui allument la fièvre au coeur de ceux qui les touchent, la rose de Suzanne avait irrité son ardeur toujours contenue et toujours vivace.

Mais la perspective des petits-fils me consolait un peu. Cependant les fils de M. de Lincy auraient vraiment besoin d'être aussi ceux de Suzanne pour se faire supporter. Je le dis au docteur qui me rit au nez. Oui, oui, dit-il, c'est toujours comme cela, et puis on s'y fait.

Mme veuve Desbonnet-Poiriez, M. Jean Desbonnet, Mlle Suzanne Desbonnet et toute sa famille, remercient vivement les personnes qui ont assisté aux funérailles de M. Jules-Alexandre DESBONNET, ingénieur I.I.N. 1881, ancien industriel, décédé