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Dinarzade, qui prenait toujours un plaisir extrême aux contes de la sultane, la réveilla vers la fin de la nuit suivante. Ma chère soeur, lui dit-elle, si vous ne dormez pas, poursuivez, je vous en conjure, l'agréable histoire des calenders.

Sire, poursuivit la sultane, le second Calender continua ainsi son histoire: Le sultan ne fit aucune attention aux autres écritures; il ne regarda que la mienne, qui lui plut tellement, qu'il dit aux officiers: Prenez le cheval de mon écurie le plus beau et le plus richement harnaché, et une robe de brocart des plus magnifiques, pour revêtir la personne de qui sont ces six écritures, et amenez-la-moi.

Dinarzade, suivant sa coutume, n'oublia pas d'appeler la sultane lorsqu'il en fut temps: Ma chère soeur, lui dit-elle, si vous ne dormez pas, je vous supplie, en attendant le jour, de me raconter un de ces beaux contes que vous savez. Scheherazade, sans lui répondre, commença d'abord, et adressant la parole au sultan: HISTOIRE DE TROIS CALENDERS, FILS DE ROIS, ET DE CINQ DAMES DE BAGDAD. Sire, dit-elle, en adressant la parole au sultan, sous le règne du calife Haroun Alraschid, il y avait

Dinarzade n'eut pas plus tôt jugé qu'il était temps d'appeler la sultane, qu'elle lui dit: Ma chère soeur, si vous ne dormez pas, je vous supplie de nous raconter ce qui se passa dans le Palais des Larmes. Schahriar ayant témoigné qu'il avait la même curiosité que Dinarzade, la sultane prit la parole, et reprit ainsi l'histoire du jeune prince enchanté.

La sultane, ayant été réveillée par sa soeur, reprit ainsi la parole: Sire, pendant que le bourreau se préparait

Dès que Dinarzade s'aperçut qu'il était temps d'appeler la sultane, elle lui dit: «Ma soeur, si vous ne dormez pas, je vous supplie, en attendant le jour, qui paraîtra bientôt, de me conter un de ces beaux contes que vous savez. Racontez-nous celui du troisième vieillard, dit le sultan

Dans son jardin la sultane se baigne, Elle a quitté son dernier vêtement; Et délivrés des morsures du peigne Ses grands cheveux baisent son dos charmant. Par son vitrail le sultan la regarde, Et caressant sa barbe avec sa main, Il dit: L'eunuque en sa tour fait la garde Et nul hors moi ne la voit dans son bain. Moi je la vois, lui répond, chose étrange!

Oui, tu seras sultane... mais moi, je serai morte, et je ne te verrai plusEt la bonne Crenmitz désespérée se serrait dans un coin du fiacre pour qu'on ne la vît pas pleurer.

Dinarzade ne fut pas plus tôt éveillée le lendemain qu'elle s'écria: Ma soeur, si vous ne dormez pas, je vous prie de reprendre le beau conte d'hier. La sultane, se souvenant de l'endroit elle en était demeurée, parla aussitôt de cette sorte, en adressant la parole au sultan: Sire, après que Zobéide eut repris sa place, toute la compagnie garda quelque temps le silence. Enfin Safie, qui était assise sur le siège au milieu de la salle, dit

Vers la fin de la dix-neuvième nuit, Dinarzade appela la sultane, et lui dit: Ma soeur, si vous ne dormez pas, je vous supplie, en attendant le jour qui va paraître bientôt, de me raconter l'histoire du pêcheur; je suis dans une extrême impatience de l'entendre. Scheherazade, avec la permission du sultan, la reprit aussitôt de cette sorte: Sire, je laisse