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Mis à jour: 3 mai 2025
Le bonhomme Strepsiadès, ruiné par les dépenses de son fils Phidippidès, l'envoie au philosophoir de Socrate afin d'y apprendre le raisonnement injuste, ainsi que l'art de ne point payer ses créanciers. Phidippidès se met vite au fait des subtilités de l'école, bat son père, et lui prouve qu'il a le droit de le battre.
STREPSIADÈS. Il sort de chez lui, chargé d'un sac de farine, et se dirige vers la porte de Sokratès.
STREPSIADÈS, sortant précipitamment. Iou! iou! Voisins, parents, citoyens, au secours! On me bat! A moi, de toute votre aide! Hélas! malheureux que je suis! Oh! la tête! Oh! la mâchoire! Scélérat, tu bats ton père. Oui, mon père! Vous le voyez, il avoue qu'il me bat. Sans doute. Scélérat, parricide, enfonceur de murailles!
Cependant, jamais, tant que je vivrai, je ne ferai rougir de moi ma patrie. J'appellerai donc Strepsiadès en justice... Qui est-ce? ... Pour le jour de la vieille et de la nouvelle lune. Je vous prends
Strepsiadès, bonjour. A toi aussi bonjour. Mais d'abord accepte ce sac. Il est juste de faire un joli cadeau
Le fils de Phidôn, Strepsiadès du dême de Kikynna. De par Zeus! tu dois être un grossier personnage, toi qui donnes
Strepsiadès, furieux, lance dans le philosophoir une torche ardente, sans s'inquiéter des cris de Socrate et de ses disciples. STREPSIADÈS. PHIDIPPIDÈS. UN SERVITEUR DE STREPSIADÈS. DISCIPLES DE SOKRATÈS. SOKRATÈS. CHOEUR DE NU
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