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Mis à jour: 30 juin 2025
STRALENHEIM, avec impatience. Différez votre récit, jusqu'
Je n'oserais le dire, quoique ce joyau plaide bien en votre faveur; car c'est le véritable indice d'un sang noble. J'ai d'importantes raisons qui me font désirer de continuer mon voyage sans être connu. Alors, vous êtes donc l'homme que Stralenheim recherche?
Je n'oserais encore le décider; mais j'essaierai de la seconde. Aussi bien, il me reste un autre bouclier. Je ne suis pas entré seul dans Prague; et si l'on devait se défaire de moi comme de Stralenheim, il y a quelques langues qui s'aiguiseraient pour ma défense. Soyez bref dans votre délibération.
Comme l'est Stralenheim. Êtes-vous donc assez irréfléchi pour n'avoir pas encore soupçonné la vérité? Quand nous nous rencontrâmes dans le jardin, qui pouvait alors, dites-moi, m'avoir appris la mort de notre ennemi, sinon la publicité du crime? Et si les gens du prince en eussent été prévenus, pensez-vous qu'on eût laissé
STRALENHEIM,
STRALENHEIM, se levant, et se tournant vers Gabor. Bon soir, braves gens! Monsieur, j'espère bien ce soir récompenser plus convenablement vos services. En attendant, je désire avoir avec vous, dans mon appartement, un instant d'entretien. Je vous suis. STRALENHEIM. Il s'arrête après quelques pas, et s'adressant
Pour moi, je vous devais ma sécurité, mon apparente sécurité, au moment où les valets de Stralenheim me poursuivaient, sous prétexte que je l'avais volé. Oui, je vous ai caché, vipère, qui venez maintenant déchirer le sein qui vous a réchauffé! Je n'accuse que pour me défendre. Comte, c'est vous qui vous êtes rendu accusateur et juge; votre palais est ma cour, votre cœur sera mon tribunal.
Très-volontiers. Celui qui court n'avance pas loin, et Et celui qui ne bouge, n'avance pas du tout. Allons, marchons, nous parlerons en chemin. Mais Montrez-moi le chemin, et je vous répondrai. Moi, je le ferai, monsieur, si son excellence le permet. Oui, et emmenez avec vous ce vieil âne. Allons! Viens, vieil oracle, et explique-nous ton énigme! STRALENHEIM, seul.
Vos vœux sont accomplis: me voici. J'ai vu le meurtrier. De qui? où? Le Hongrois, l'assassin de Stralenheim. Vous rêvez. Je veille, et je l'ai vu comme je vous vois. Je l'ai entendu! il n'a pas craint de prononcer mon nom. Quel nom? Werner, celui que je portais alors. Il ne doit plus vous convenir: oubliez-le.
C'est le seul, et je l'embrasse comme j'embrasse mon fils, qui, dans le même jour, a sauvé son père et lui-même. Oui, vous serez sauvé: cela doit nous suffire. La présence de Stralenheim en Bohême serait-elle un obstacle
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