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Mis à jour: 9 juin 2025
1º Les Allemands ne se renferment guère dans la réserve que l'on conseille ici. Un historien de la philosophie, Rixner, déclare qu'il y a dans la doctrine d'Abélard un fond de spinozisme, et il donne en preuve un tableau synoptique dressé par Fessler d'extraits divers d'Abélard et de Spinoza . On se rappelle que déj
J'aime trop la philosophie. On ne pouvait rien obtenir de moi, vous savez. J'étais toujours dans quelque coin, le nez enfoncé dans les oeuvres de Spinoza ou dans celles de Roret. Non, il me faut un autre métier. Mais lequel?
Les sonnets d'Amour sont plus sombres et plus amers que les pièces amoureuses du premier volume: le travail de la pensée a transformé la tendresse maladive en révolte contre la tyrannie de la beauté et contre un sentiment qui est de sa nature inassouvissable. Voyez le curieux portrait de Spinoza: C'était un homme doux, de chétive santé...
L'écrivain, sans séparer l'une de l'autre, peut indiquer la loi qui régit chacune de ses poésies. Quelques philosophes sont plus intelligents que quelques poètes. Spinoza, Malebranche, Aristote, Platon, ne sont pas Hégésippe Moreau, Malfilatre, Gilbert, André Chénier. Faust, Manfred, Konrad, sont des types. Ce ne sont pas encore des types raisonnants. Ce sont déj
La définition du philosophe Spinoza dans son
Bulletin bibliographique. Oeuvres de Spinoza, traduites par
«Spinoza est un solitaire; il s'inquiète sérieusement de s'entendre avec lui-même, mais fort peu d'être entendu. Animé du plus violent mépris pour le vulgaire, il ne s'adresse qu'aux esprits d'élite, et fait de son style une algèbre
J'avoue que le rapport logique m'échappe. Abélard parle de la substance divine, Spinoza de la substance en général. Quand ce que dit ce dernier serait vrai ou plausible, faudrait-il en charger Abélard, dont le but est précisément de spécifier la substance divine, de déterminer ce qu'elle est et ce qu'elle n'est pas, de la distinguer de toute autre substance? C'est la substance incréée qu'il décrit; car il ajoute aussitôt: «Les créatures, au contraire, quelque excellentes qu'elles soient, ont besoin de l'adjonction d'une autre chose qu'elles, et ce besoin atteste leur imperfection» (Theol. Chr., p. 1265). Qu'Abélard ait tort ou raison, qu'importe donc que Spinoza applique
Bouvard imagina que Spinoza peut-être, lui fournirait des arguments, et il écrivit
Informis Deus est formarum forma vigorque . A ces propositions, Fessler assimile celles par lesquelles Spinoza définit la substance. La substance est ce qui est en soi, ce qui se conçoit par soi, ce dont le concept n'a besoin du concept d'aucune autre chose. D'où résulte qu'il ne peut y avoir deux substances et que toute substance est nécessairement infinie . Abæl. Th. Chr., p, 1264.
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