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Ou draps de soie ou fleurs de lys, 9277 Comme dans les livres je lis, Est leur bien, non celui des dames; Car savoir doivent toutes femmes Que rien ne peut être ajouté A leur naturelle beauté. Ce que pour la beauté j'expose Est pour la bonté même glose. Pour mon penser mieux définir, Qui voudrait un fumier couvrir De drap de soie ou de fleurettes Aux couleurs brillantes et nettes, Certes resterait le fumier, Qui de puer est coutumier, Tel comme avant il soulait être; Et si quelqu'un voulait émettre Que le fumier est laid dedans, Mais beau grâce

L'ivrognerie littéraire est un des phénomènes les plus communs et les plus lamentables de la vie moderne; mais peut-être y a-t-il bien des circonstances atténuantes. Du temps de Saint-Amant, de Chapelle et de Colletet, la littérature se soûlait aussi, mais joyeusement, en compagnie de nobles et de grands qui étaient fort lettrés, et qui ne craignaient pas le cabaret. Certaines dames ou demoiselles elles-mêmes ne rougissaient pas d'aimer un peu le vin, comme le prouve l'aventure de celle que sa servante trouva en compagnie de Chapelle, tous deux pleurant

Or vois comme Fortune sert 6651 Ci-bas en ce mondain désert, Comme on fait bien de la maudire, Elle qui des méchants le pire Choisit pour être le premier, Maître et seigneur du monde entier, Et fit Sénèque ainsi détruire. Donc ses faveurs point ne désire, Puisque nul n'est si grand, si fort Qu'il soit assuré de son sort. Il vaut mieux que tu la méprises Et que ses grâces rien ne prises. Claudius même s'en soulait

Je ne puis pas aller vers les fruitières et leur dire: «Avez-vous une nièce qui s'appelle Torchonette et qui aimait M. Matoussaint? Avez-vous un parent qui se soûlait tous les jours

Sous ce tombeau gît Françoise de Foix De qui tout bien chacun soulait en dire. En le disant, onc une seule voix Ne s'avança d'y vouloir contredire. De grand beauté, de grâce qui attire, De bon savoir, d'intelligence prompte, De biens, d'honneur, et mieux que ne raconte, Dieu éternel richement l'étoffa. O viateur! pour abréger le compte, Ci gît un rien, l

Soudain un doux parfum m'inonde Dissipant ma douleur profonde, Et adoucit le mal d'aimer Qui tant me soulait être amer. Onques tant ne me sentis d'aise, Moult guérit qui telle fleur baise Si suave et qui si bon sent. Je ne serai plus si dolent, Il suffira qu'il m'en souvienne Et de joie aurai l'âme pleine!