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Mis à jour: 8 juin 2025
Reste le Juge de sa propre cause (II, 14), qui, cette fois, n'est pas tiré du livre de Solorzano. Au premier coup d'oeil, même avant de l'avoir lu, l'origine espagnole n'en sauroit être douteuse pour qui se rappelle le Médecin de son Honneur, le Geôlier de soi-même, et tous ces titres par rapprochements et par antithèses que cette littérature affectionne. Lope de Vega a fait el Juez en su causa (V. Las comedias del famoso, etc., in-4, dern. vol., Bibl. imp.) ; mais la source immédiate de la nouvelle de Scarron doit être cherchée ailleurs: c'est le 9e récit des Novelas exemplares y amorosas, sorte de décaméron dû
[Note 33: Remarquons que d'Ouville a traduit de Solorzano la Garduna de Sevilla (la Fouine de Séville, 1661). Il connaissoit donc cet auteur, et, par conséquent, il est possible que, dans son Esprit follet, il ait un peu songé aussi
Maintenant procédons par ordre, et avec un peu plus de détails. L'Amante invisible (Rom. com., I, 9) est simplement traduite, avec intercalation de quelques phrases burlesques, de la troisième nouvelle des Alivios de Cassandra, intitulée: Los Efectos que haze Amor. Que le sujet de cette nouvelle soit ou ne soit pas de Solorzano lui-même, je n'ai point
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