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Mis à jour: 19 juin 2025


Les Sitaris ne vivent donc

Mais que vais-je parler de repas! Ce repas n'a pas lieu Les Sitaris placés

«Sur les six cents cellules environ que j'ai emportées et observées dans mon cabinet, poursuit M. Mayet, j'en ai trouvé trente ou quarante qui n'étaient habitées ni par des Colletes, ni par des Sitaris. J'ai ouvert toutes ces cellules. Dans toutes j'ai trouvé la provision de miel intacte, et

En ouvrant des cellules dont le couvercle est encore frais, on finit par en trouver l'oeuf, pondu depuis peu, porte un jeune Sitaris. Cet oeuf est intact et dans un état irréprochable. Mais voici que la dévastation commence: la larve, petit point noir qu'on voit courir sur la surface blanche de l'oeuf, s'arrête enfin, s'équilibre solidement sur ses six pattes; puis, saisissant avec les crocs aigus de ses mandibules, la peau délicate de l'oeuf, elle la tiraille violemment jusqu'

Dans les flacons je tenais mes Sitaris, j'ai vu l'accouplement suivre de très près les premiers instants de liberté. J'ai pu même être témoin d'un fait qui témoigne hautement combien est impérieuse, pour l'insecte parfait, la nécessité de se livrer, sans retard,

L'éclosion des oeufs a lieu en fin mai ou en juin, un mois environ après la ponte. C'est aussi dans ce laps de temps qu'éclosent les oeufs des Sitaris. Mais plus favorisées, les larves de Méloé peuvent se mettre immédiatement en recherche des hyménoptères qui doivent les nourrir; tandis que celles des Sitaris, écloses en septembre, doivent, jusqu'au mois de mai de l'année suivante, attendre immobiles et dans une abstinence complète, l'issue des Anthophores dont elles gardent l'entrée des cellules. Je ne décrirai pas la jeune larve de Méloé, suffisamment connue, en particulier par la description et la figure qu'en a données Newport; pour l'intelligence de ce qui va suivre, je me bornerai

La nourriture désirée ne saurait être que le contenu des cellules de l'Anthophore, puisque plus tard on trouve les Sitaris dans ces cellules. Or, ce contenu se borne ou

Le nombre d'oeufs fournis par une seule ponte est vraiment prodigieux. À la première ponte, qui est, il est vrai, la plus féconde de toutes, le Meloe proscaraboeus, d'après les supputations de Newport, produit le nombre étonnant de 4 218 oeufs; c'est le double des oeufs pondus par un Sitaris. Et que serait-ce en tenant compte de deux ou trois pontes qui doivent suivre cette première! Les Sitaris, confiant leurs oeufs aux galeries mêmes ou doivent nécessairement passer les Anthophores, épargnent

Puisqu'on ne peut admettre qu'au moment l'Anthophore bâtit sa porte, la larve de Sitaris quitte le corselet velu de son amphitryon pour pénétrer inaperçue dans la cellule, dont l'ouverture n'est pas encore entièrement murée, il ne reste que l'instant de la ponte

Le Sitaris humeralis (fig. 53) pond dans les galeries des Anthophores, après que celles-ci ont approvisionné les cellules. Ses œufs éclosent quelque temps après. Les jeunes larves, longues d'un millimètre, sont fort agiles, munies de longues pattes que terminent trois crochets, d'où le nom de triongulins, donné

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