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Mis à jour: 14 juin 2025
Je ne crois pas qu'on puisse trouver dans tout Paris un intérieur plus bizarre et plus gai que celui du sculpteur Simaise. La vie dans cette maison-l
Chaque soir, une foule de bazochiens éblouis encombrait l'atelier Simaise. Avec un piano de louage, tout ce monde polkait, valsait, scottischait on scottische encore en Normandie... «Je finirai bien par en marier une,» se disait le père Simaise; et le fait est que, la première partie, toutes les autres auraient suivi. Malheureusement la première ne partit pas, mais il s'en fallut de bien peu. Parmi les nombreux valseurs de ces demoiselles, dans ce corps de ballet d'avoués, de substituts, de notaires, le plus enragé pour la danse était un avoué veuf, très-assidu près de la fille aînée. Dans la maison on l'appelait «le premier avoué dansant», en souvenir des ballets de Molière; et certes,
Je le crains bien, les demoiselles Simaise ne se marieront pas. Elles ont eu pourtant une occasion magnifique et unique de le faire pendant la Commune. La famille s'était réfugiée en Normandie dans une petite ville très-processive, pleine d'avoués, de notaires, d'agents d'affaires. Le père,
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