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Mis à jour: 24 juillet 2025
Ce tronçon brisé d'armes politiques ne sied pas sur une tombe de poëte, encore moins sur une tombe de femme. Plaire, aimer, pardonner, ce fut toute sa vie: que ce soit aussi toute sa mémoire!
On lira toujours avec un nouveau plaisir ces mémoires célèbres où M. DUPATY répand un si grand jour sur l'innocence des trois malheureux accusés qu'il défend; où il les justifie avec ce courage qui sied si bien
Tout doux! Devais-je ne point payer ici les paysans dont je mouds le grain, au moment où il sied de leur insinuer, dans l'intérêt de votre fortune, une opinion politique?...
TROÏLUS. Mon frère, vous avez en vous un vice de générosité qui sied mieux
Mais c'est qu'elle est encore embellie, dit mademoiselle de Maran en m'examinant avec sollicitude. C'est tout simple... le bonheur sied si bien! Et Gontran sait mieux que personne prodiguer cette parure-l
Oh! Léna!... répéta Loïzik avec douleur. Voulez-vous me permettre de protester en faveur de ce ravissant costume? dit Landry en souriant. Vraiment, les femmes s'inquiètent plus de la mode que de ce qui leur sied! Quel chapeau parisien vaut ces dentelles légères?
À ces paroles du vieux monarque, Râma lui répondit en ces termes: «Il ne te sied nullement, auguste roi, de venir avec moi dans les forêts: tu ne dois pas faire un tel acte de complaisance
Du dictateur passons au despote. C'est l'autre qualification presque acceptée par M. Bonaparte. Parlons un peu la langue du bas-empire. Elle sied au sujet. Le Despotès venait après le Basileus. Il était, entre autres attributs, général de l'infanterie et de la cavalerie, magister utriusque exercitus. Ce fut l'empereur Alexis, surnommé l'Ange, qui créa la dignité de despotès.
Perfide! Il vous sied bien de tenir ce discours, Vous, qui gardant au coeur d'infidèles amours, Quand je vous élevais au comble de la gloire, M'avez des trahisons préparé la plus noire. Ne vous souvient-il plus, coeur ingrat et sans foi, Plus que tous les Romains conjurés contre moi, De quel rang glorieux j'ai bien voulu descendre, Pour vous porter au trône où vous n'osiez prétendre? Ne me regardez point vaincu, persécuté: Revoyez-moi vainqueur, et partout redouté. Songez de quelle ardeur dans
Le premier est un certain mouvement des jambes rapprochant les talons, qui n'est d'ailleurs que le pas de la valse. Ce mouvement est excessivement élégant et gracieux. Ainsi, pour saluer, un homme ne doit pas plier la jambe, courber le corps; au contraire, il redresse la tête, rapproche les deux talons comme s'il se mettait au port d'armes et présente légèrement le buste en avant. Tout jeune homme ayant appris la danse, la gymnastique, et ayant de la grâce, de la désinvolture dans les mouvements, saluera de cette façon. Ce rapprochement des pieds a l'avantage de rehausser la stature (chacun sait qu'en éloignant les jambes l'une de l'autre, on perd plusieurs centimètres de hauteur). En résumé, ce mouvement dénote l'homme de bonne société. Ce serait une erreur de croire qu'il est dévolu particulièrement aux tailles élevées; il sied et est propre
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