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Mis à jour: 6 juin 2025


Sidoine s'assit. Médéric saisit

Médéric harangua plus encore que Sidoine ne se battit. Au bout d'une semaine, il avait déj

Je crois que oui, répondit Sidoine d'un ton modeste; nous allons voyager et nous battre tout le long de la route. Ce sera charmant.

Si jamais discours fit bâiller Sidoine, ce fut celui que Médéric déclamait de la sorte. Et la Chine? demanda-t-il d'un ton modeste.

Elle est morte, dit Sidoine, étourdi encore, mais revenu

Sidoine ne pleurait plus, ne réfléchissait plus, ne parlait plus. Les larmes, un instant, lui avaient mis des pensées au cerveau et des paroles aux lèvres. Le tout s'en était allé ensemble.

En ce moment, Sidoine et Médéric se trouvaient sur une grande route, non loin d'une ville. Des deux côtés s'étendaient de vastes parcs, enclos de murs peu élevés, au-dessus desquels passaient des branches d'arbres fruitiers, chargées de pommes, de poires, de pêches, appétissantes

Et se tournant vers le fond de l'oreille: ! mon mignon! cria-t-il, vas-tu? Pardieu! répondit Sidoine sans s'arrêter, je vais devant moi. Vous êtes un sot, mon mignon, reprit Médéric. Vous avez l'air de ne pas vous douter que la terre est ronde, et qu'en allant toujours devant vous, vous n'arriveriez nulle part. Nous voil

Sidoine, ayant regardé autour de lui, aperçut cinq ou six buttes de sable qui se trouvaient l

Sidoine, que le feu réjouissait, allongeait en effet les mains d'une façon indolente. Il dodelinait de la tête, abîmé dans un oubli complet des choses de ce monde. Médéric se rapprocha du feu qui s'éteignait.

Mot du Jour

l'égaierait

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