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Mis à jour: 14 juillet 2025
En Belgique, le jour Saint-Gilles, les apprentis chaudronniers se promenaient par la ville: l'un d'eux s'était coiffé d'une sorte de shako surmonté d'un panache, tandis que l'autre portait sur une espèce d'estrade, soutenue par un long manche, la statue du saint, entourée de fleurs; de l'estrade pendaient des cuillers, des pots et autres menus ustensiles.
«Oui, dit-il, c'est cela; la quatrième face de votre cachot donne sur une galerie extérieure, espèce de chemin de ronde où passent les patrouilles et où veillent des sentinelles. Vous en êtes sûr? J'ai vu le shako du soldat et le bout de son fusil et je ne me suis retiré si vivement que de peur qu'il ne m'aperçût moi-même. Eh bien? dit Dantès.
Après avoir endossé l'uniforme français, et s'être coiffés du shako, Pétia et Dologhow se rendirent
Un jour, il arriva avec un nid plein d'oeufs, qu'il avait placé dans le fond de son shako, sous son mouchoir. C'était très-bon, disait-il, les omelettes avec les oeufs d'oiseau. Rosalie jeta cette horreur, mais elle garda le nid, qui alla rejoindre les baguettes. D'ailleurs, il avait toujours ses poches plaines
Tel fut, mes chers enfants, le résultat de mon combat, ou, si l'on veut, de mon équipée de Miranda de Corvo. Vous avez conservé le shako que je portais alors, et les nombreuses entailles dont les sabres anglais l'ont décoré prouvent que les deux housards ne me ménagèrent pas! J'avais aussi rapporté ma giberne, dont la banderole avait reçu trois coups de tranchant; mais elle a été égarée.
Mais dans quel état!! Les brillantes couleurs de ses joues étaient ternies; son pantalon rouge était d'un rose sale; sa belle tunique, décolorée, était souillée de graisse; son shako noir était devenu gris; ses bras, son fusil, son sac et la confortable rondelle qui lui servait jadis de souliers, le tout, décollé, flottait sur le bouillon.
À 7 heures du matin, un convoi de Français, en tenue de campagne, le shako sur la tête, le fusil sur l'épaule, la giberne et le sac au dos, s'alignaient devant le corps de garde, en échangeant entre eux, sur toute la ligne, un feu croisé de propos animés, émaillés de jurons. À l'intérieur, tous étaient prêts, chaussés, habillés, n'attendant que l'ordre de sortir. Seul le pauvre Sokolow, pâle, exténué, n'était ni chaussé, ni habillé et poussait des gémissements incessants. Ses yeux cernés, sortant de leur orbite, interrogeaient en silence ses compagnons, qui ne faisaient aucune attention
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