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Mis à jour: 9 juillet 2025


Partout, villes et villages musulmans sont brûlés, il n'est pas une rivière, pas un ruisseau qui ne se teigne du sang infidèle. «Mais ces réjouissances ne durèrent que deux mois; elles se changèrent pour les Serbes en calamités,

Mais le premier journal qui s’occupa de la collection de chants serbes, paraît avoir été le Globe. Cette publication, dont on connaît le rôle important dans l’histoire du romantisme français, contenait dans son quatrième numéro un article très significatif: une notice sur les Chants populaires des îles de Foeroe , l’on remarquait déj

Pouchkine ne fut pas le seul poète slave qui prit la Guzla pour une collection de chants serbes authentiques. Trois ans avant lui, un jeune Polonais qui devait plus tard enseigner les littératures slaves au Collège de France, mais qui,

Au début, cette cause sembla désespérée, surtout dans le vilayet de Monastir, l'élément bulgare est puissant et organisé. À Prilep, citadelle du bulgarisme, comme sur d'autres points convoités, les agents de la propagande serbe furent traqués et assassinés. Dans le bassin de Prisrend, en Vieille Serbie, dans le vilayet de Kossovo, les souvenirs, les traditions et le voisinage aidant, le mouvement eut plus de succès. Cependant, il ne faut pas perdre de vue qu'en Vieille Serbie, les efforts des Serbes se heurtent

SERBIE. La victoire des Serbes sur la Drina, complétée par la reprise de Chabatz le 24 août, momentanément occupé par les Autrichiens, a déterminé l'évacuation du Sandjak de Novi-Bazar par l'armée autrichienne. D'après les renseignements officiels de source serbe, l'ennemi avait engagé dans les combats de la Drina les 4e, 8e, 9e, 13e corps et deux brigades du 15e, soit 120

Les Bulgares et les Serbes sont unanimes

En Macédoine, les noms de lieux sont fréquemment serbes et les chants populaires, les légendes, y empruntent souvent leurs héros

Il faut signaler aussi l’uniformité de style et de langue qui caractérise les ballades serbes. En effet, si l’on compare les pièces toutes récentes avec les plus anciennes, rien, sinon l’incident qui en forme le fond, ne nous avertit qu’il y a entre elles un intervalle de plusieurs siècles.

Chez les Serbes, rien de tout cela. Ce n'est pas que les lumières y soient plus répandues; l'ignorance y est, au contraire, universelle, absolue; la société y forme une seule classe, qui n'a qu'une connaissance, un aliment intellectuel, une vie morale, une histoire, et, avec la danse et la boisson, un divertissement commun: les poésies populaires. Les choses ont un peu changé, bien entendu, dans la principauté, une transformation politique et sociale s'opère, la poésie populaire se meurt et commence

M. Tomo Matić, qui a fait une étude spéciale sur les traductions françaises de la Triste ballade , mais qui n'en connaissait que cinq, en cite deux autres, sur l'autorité de M. Skerlitch, dit-il . La première aurait été publiée par le baron Eckstein dans le Catholique en 1826, la seconde par Mme Sw. Belloc dans le Globe en 1827. Vérification faite, M. Matić blâme sévèrement M. Skerlitch de l'avoir induit en erreur, car ces traductions n'existent pas . Nous avons lu et relu l'article qu'il cite; une seule phrase a retenu notre attention; mais il n'y est question que des traductions françaises de poésies serbes en général . En effet, on trouve dans le Catholique de 1826 deux longs articles sur la poésie serbe, et dans le Globe de 1827 plusieurs chants du recueil de Karadjitch, traduits par Mme Sw. Belloc. Du reste, nous en avons déj

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