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Mis à jour: 4 juillet 2025
«La guerre de Sept-Ans et le traité qui en a été la suite nous ont dépouillés de ce magnifique héritage, mais aujourd'hui, quand un Français y pénètre en étranger, il ne peut oublier que ses ancêtres le reçurent jadis librement des mains d'une race faible et confiante; que, fidèles
La jeune noblesse française avait accueilli avec sympathie la nouvelle de la révolte des colonies anglaises d'Amérique, autant par antipathie pour l'Angleterre, qui l'avait vaincue dans la guerre de Sept-Ans, que parce qu'elle était pénétrée de l'esprit philosophique de son siècle. Il faut pourtant reconnaître que ni Louis XVI ni la Reine ne s'étaient enthousiasmés pour la cause des Américains. Les idées d'indépendance politique et de liberté religieuse, hautement proclamées de l'autre côté de l'Atlantique, ne pouvaient guère trouver d'écho auprès d'un trône basé sur le droit divin et occupé par des Bourbons imbus des principes de l'absolutisme. Cependant, les saines traditions de Choiseul n'étaient pas complètement oubliées. Les corsaires américains avaient accès dans les ports français et pouvaient acheter des munitions
Les négociations avec l'Autriche commencèrent, et bientôt un traité d'alliance fut signé; c'était le signal de la guerre de Sept-Ans. La France va désormais, au profit de son ancienne ennemie, prodiguer son or et son sang. Frédéric sera plusieurs fois
Le traité d'Aix-la-Chapelle ne nous donnait qu'une paix boiteuse. C'était une trêve armée, chacun le sentait, mais nul alors ne prévoyait la guerre de Sept-Ans. Cette guerre impolitique, insensée, calamiteuse, elle fut l'oeuvre de la favorite. De tout temps l'Autriche avait été considérée comme l'ennemie naturelle de la France: ainsi pensaient Henri IV et Richelieu, deux politiques au moins aussi forts que la maîtresse de Louis XV. On changea de conduite, et l'on tendit la main
Ma grand'mère maternelle, madame Chappron, était veuve depuis longues années; elle jouissait d'une assez belle fortune et se remaria; elle épousa M. le comte de Méhégan, frère de l'abbé de Méhégan, connu comme auteur. Il était maréchal de camp, et sa famille, irlandaise d'origine, avait accompagné en France le roi Jacques. C'était un brave soldat, ayant fait avec quelque distinction la guerre de Sept-Ans. Comme je n'avais pas encore les connaissances nécessaires pour entrer dans l'artillerie, que d'ailleurs il ne devait pas y avoir d'examen avant plusieurs années, il me fit donner le brevet de sous-lieutenant dans un corps de milice, le bataillon de garnison de Chartres, compagnie de Coquille, manière d'avoir des droits plus anciens pour la croix de Saint-Louis et les récompenses militaires. Ce brevet ne me donnait aucun devoir
Sans compter les sommes fabuleuses englouties dans la guerre de Sept-Ans, la marquise avait dilapidé les finances pour enrichir ses parents, ses amis, pour se faire des créatures, pour satisfaire les passions du roi.
Le château est très bien situé, et divisé en deux parties, dont la famille Ferdinand habitait la plus grande. Le lendemain, le prince Henri me promena dans son parc, qui est immense et très beau. Par amour pour les braves guerriers qui combattaient avec lui dans la guerre de Sept-Ans, le prince y avait fait élever une énorme pyramide sur laquelle tous leurs noms sont inscrits. Un autre monument était un temple dédié
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