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Mis à jour: 6 juin 2025
La jupe traînait sur le plancher; il releva la ceinture jusqu'au-dessus des seins et croisa les cordons
Je l'aime, car nous y couchons depuis que les nuits sont fraîches; et plus les nuits sont fraîches, plus elles sont longues aussi. Au jour levant je me sens enfin lassée. Le matelas est sur le sol; deux couvertures de laine noire enferment nos corps qui se réchauffent. Sa poitrine refoule mes seins. Mon coeur bat...
A la belle maraîchère d'Argenteuil Au corsage ouvert sur les roses des seins Que disais-tu, bon poète amoureux? Le chemin creux
Ceux qui concernent l'Allemagne, l'Italie, et l'Espagne, et qui sont écrits respectivement en latin, en italien et en espagnol, sont curieux; ils nous mettent au courant des vices dominant dans ces pays au XVIIIe siècle. A Vienne, ce sont les raffinements indiens, les mignardises et l'hyménée par la bouche, les seins, etc.
Et si l'on m'interroge demain, je dirai que j'ai eu peur toute seule, que je suis partie vers minuit et que, si les voleurs sont venus, ç'a été après mon départ. Quelle bonne, quelle excellente idée vous m'avez donnée! Vous êtes mon sauveur! mon sauveur! Elle se rapproche de moi, me frôle de la pointe de ses seins. Qu'est-ce qu'elle a? On dirait qu'elle fait ses yeux en lune de miel...
Tu trouveras au bout de deux beaux seins bien lourds, Deux larges médailles de bronze, Et sous un ventre uni, doux comme du velours, Bistré comme la peau d'un bonze, Une riche toison qui, vraiment, est la soeur De cette énorme chevelure, Souple et frisée, et qui t'égale en épaisseur, Nuit sans étoiles, Nuit obscure!» Tu n'es certes pas, ma très-chère, Ce que Veuillot nomme un tendron.
Ses yeux sont noirs comme les fruits du micocoulier. Ses lèvres sont comme deux tranches de bigarade et en ont peut-être la saveur amère. Son fichu qui palpite écrase sans raison les arbouses de ses seins. Mon compère, mon compère, d'avoir une si belle famille, vous êtes plus enviable qu'un empereur! Le chiffonnier sourit et dit glorieusement: J'en descends.
O toi, que la nuit rend si belle, Qu'il m'est doux, penché vers tes seins, D'écouter la plainte éternelle Qui sanglote dans les bassins! Lune, eau sonore, nuit bénie, Arbres qui frissonnez autour, Votre pure mélancolie Est le miroir de mon amour. La gerbe épanouie En mille fleurs, Où Phoebé réjouie Met ses couleurs, Tombe comme une pluie De larges pleurs.
Tes bras qui s'étalaient au mur de ta jeunesse, Tel qu'un cep glorieux vêtu de vins et d'or, Au long de tes flancs creux lignent leur sécheresse, Pareils aux bras osseux et sarmenteux des morts. Tes seins, bouquets de sève étalés sur ton torse, Iles de rouge amour sur un grand lac vermeil, Délustrés de leur joie et vidés de leur force, Sèchent, eux que mon rut levait
Les seins tuméfiés versaient, du côté droit, un lait rare et difficile,
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