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Mis à jour: 28 juin 2025
Nos représentants en Autriche et en Saxe, observateurs désignés, traçaient alors un tableau assez piquant des stations thermales de la Bohême, de ces rendez-vous d'élégance et d'intrigue, où l'opposition contre nous prenait toutes les formes, depuis les plus violentes jusqu'aux plus puériles, et s'amusait de satisfactions sentimentales, en attendant mieux: «Depuis la fâcheuse aventure de Schill, écrivait un agent de surveillance, les chevaliers et chevalières de la Vertu ont continué
La levée de boucliers de Schill, en Prusse, nous révéla tout le danger. Ce major prussien, arborant l'étendard de la révolte, venait d'être lancé par les Schneider, les Stein, chefs des illuminés; c'était un timide essai que faisait la Prusse. Il tint
Lorsque je visitai la flotte de Toulon, je trouvai une nouvelle preuve de la cruauté avec laquelle Napoléon traitait les Prussiens. Sur le vaisseau Amiral, deux matelots, misérablement vêtus, s'approchèrent de moi et me parlèrent en allemand. Ils me supplièrent, au nom de Dieu, de les tirer d'esclavage, eux et trois cents de leurs compatriotes qui étaient détenus dans le bagne. La plupart était du corps de Schill, et les autres avaient été faits prisonniers
Le 3 avril 1809, dans la nuit, une centaine de militaires allemands ayant pour chef un M. de Katt, ancien capitaine aux hussards de Schill, venant de Spandau, ville prussienne, pénétrèrent dans la petite place de Stendal, se formèrent en bataille sur le marché, prirent les chevaux et les armes des gendarmes westphaliens, et pillèrent les caisses. Le 4,
On voit que M. Reinhard, moins optimiste que M. de Furstenstein, était aussi plus clairvoyant. On touchait aux aventures de Schill, du duc de Brunswick et
Nous respirâmes après l'occupation de Vienne; mais Schill courait encore en Saxe, et les Viennois se montraient irrités et exaltés. Il y eut plusieurs émeutes dans cette capitale de l'Autriche. Bientôt les premiers bruits sur la bataille d'Essling vinrent renouveler nos transes et aggraver nos inquiétudes. A ces bruits succédèrent les informations confidentielles, presque toutes désolantes. Non-seulement Lannes, le seul ami de Napoléon qui fût resté en possession de lui dire la vérité, avait péri glorieusement, mais on complaît huit mille morts, dix-huit mille blessés, parmi lesquels trois généraux et au-del
Le général Gratien, avec une division hollandaise, ayant marché sur Stralsund, où s'était retranché le nommé Schill, a enlevé ses retranchemens d'assaut. Schill avait donné ordre de brûler la ville pour assurer sa retraite, mais sa bande n'en a pas eu le temps; elle a été en entier tuée ou prise; lui-même a été tué sur la grande place près du corps-de-garde, dans le moment où il se sauvait et cherchait
L'horizon changea presque subitement. La bataille de Wagram livrée et gagnée quarante-cinq jours après la perte de la bataille d'Essling, l'armistice de Znaïm consenti six jours après la bataille de Wagram, et la mort de Schill, nous ramenèrent des jours sereins.
La Prusse, humiliée par la défaite d'Iéna, mais n'osant, malgré les instances de l'Angleterre, courir les chances d'une nouvelle guerre ouverte contre Napoléon, voulut cependant entraver ses succès; elle prit entre la guerre et la paix un terme moyen, réprouvé par le droit des gens de toutes les nations civilisées. En effet, le major Schill, sortant en plein jour de Berlin,
« Entendez-vous, dit-il? on a brûlé Villach cette nuit! Des bandits, des bandits! L'écume des troupes de Schill et de Chateler! Tout ce qu'il y a de plus méprisable! La compagnie de Jacquinot suffit pour les mettre
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