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Mis à jour: 6 juillet 2025


Il nous raconta qu'il y avait dix-huit ans qu'il avait été envoyé en ce pays, avec plusieurs milliers d'hommes, pour délivrer deux royalistes qui devaient être pendus, pour avoir porté la cocarde blanche. Je les sauvai avec beaucoup de peine des mains de ces enragés; et aujourd'hui, continua-t-il, ces hommes recommenceraient les mêmes excès contre celui d'entre eux qui se refuserait

À la veille de mon départ, ma mère tomba dangereusement malade; privée, pendant deux jours, du seul médecin qu'il y ait ici, il me fallut la soigner sans guide, dans une maladie dont je savais le danger. Dans ces deux jours je connus le malheur. Dieu me prit en pitié, je la sauvai. Je passai trente-sept jours sans sortir de sa chambre; mes soins lui furent agréables. Pendant quelques jours, lorsque je fus rassurée, je me sentais plus heureuse que je ne croyais pouvoir l'être. Je pensais rarement

En effet, je me sentais devenir écarlate, je souffrais visiblement et, sur une excuse banale, je la saluai, puis faisant semblant d'embrasser Louise je me sauvai avec bonheur. Sincèrement, je me demande quelle est la conduite que j'aurais tenir, et je ne puis me répondre clairement. Notre vieille amitié plaidait pour la «pauvre petite»... mais cet acharnement dans la mauvaise voie!

Je ne sais ce qu'il fit, car je me sauvai pour ne plus voir. D'instinct, c'est auprès de sa mère que j'allai me réfugier. Elle lisait son Coran, et d'abord gronda d'être interrompue dans sa méditation, puis se leva effarée, pour aller vers eux, me laissant seule.

Je me sauvai pour ne pas rire. Oui, j'avais envie de rire... Et, cependant, une émotion chantait dans mon coeur... quelque chose comment exprimer cela?... de maternel... Bien sûr que Monsieur ne me plairait pas pour coucher avec... Mais, un de plus ou de moins, au fond qu'est-ce que cela ferait?... Je pourrais lui donner du bonheur au pauvre gros père qui en est si privé, et j'en aurais de la joie aussi, car, en amour, donner du bonheur aux autres, c'est peut-être meilleur que d'en recevoir, des autres... Même lorsque notre chair reste insensible

Au XVIIe siècle, c'étaient les pâtissiers qui fournissaient aux oublieurs leur attirail et leur marchandise. Un passage de l'Histoire comique de Francion le constate et donne des détails curieux sur la façon dont le métier était exercé: «Je me sauvai dans la boutique d'un pâtissier que je trouvai ouverte. Craignant d'être reconnu par mes ennemis j'avois pris tout l'équipage d'un oublieux, et m'en allois criant par les rues: est-il? Je passai par devant une maison; l'on m'appela par la fenêtre et cinq ou six hommes sortant aussitôt

Mme Chantal et ses filles se précipitèrent, et comme on cherchait de l'eau, une serviette et du vinaigre, je pris mon chapeau et je me sauvai. Je m'en allai

A ces mots incroyables, laissant tomber mon bâton, je me sauvai comme si le diable m'emportait, et jamais depuis lors je n'entendis parler de ces philharmoniques. Un virtuose couronné.

Durant dix minutes ils restèrent comme morts sous les draps. Puis ils se levèrent, s'habillèrent et quittèrent la chambre. Je savais que ma mère allait mener mon père dans la chambre les cadeaux étaient exposés. Cette chambre donnait sur la véranda qui menait au jardin. Au bout de quelques minutes je quittai furtivement ma cachette et me sauvai dans le jardin, d'où je saluai mes parents. Je ne sais pas comment je pus réciter ma poésie et présenter mes bons voeux

Puis, je me sauvai

Mot du Jour

qu'oublieuse

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