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Mis à jour: 8 juin 2025
Ces nobles paroles furent saluées par des vivats chaleureux; car tous les soldats admiraient le courage que, depuis la reprise des hostilités, notre jeune héros avait montré en maintes circonstances, et tous l'aimaient et le respectaient. D'après les ordres de sir George Prévost, les soldats devaient encore rester sous les armes, en prévision de nouvelles attaques.
Le souper fut bien joyeux, les langues déliées par quelques verres de bon vieux rhum, débitaient mille et mille plaisanteries qui étaient saluées par des tonnerres d'éclats de rire. Les chants ensuite succédèrent aux bons mots, enfin la gaîté était au diapason, lorsque nous nous levâmes de table. Ma mère, par une délicate attention, m'avait fait placer auprès d'une jeune fille plus jolie, plus instruite et plus distinguée que ses compagnes. Cette jeune fille n'était pas précisément belle, elle n'était peut-être pas même jolie, tel qu'on l'entend dans l'acception du mot, mais sa figure était si sympathique, sa voix et son regard si caressants et si doux, qu'elle répandait autour d'elle un charme et un bonheur auxquels il était difficile de résister. Sa conversation était entraînante, et se ressentait de son caractère aimant et contemplatif, elle avait une teinte de mélancolie lorsque le sujet s'y prêtait, qui donnait
Parmi les dames qui étaient autour d'elle, la marquise de Fontaneilles, la duchesse de Hauteroche et lady Harrisson furent saluées
Le roi la conduisit, après qu'elle nous eût toutes saluées, dans l'appartement de la reine, et voyant qu'elle étoit fort échauffée et dépoudrée, il dit
Et aujourd'hui, interrogeait grand'mère avec malice, avez-vous au moins vu ces dames? La marquise? faisait mon père, un peu embarrassé. La marquise, la comtesse, la vicomtesse... est-ce que je sais? Les avez-vous vues, oui ou non? Mais certainement, je les ai saluées dans le parc. Elles n'ont donc pas déjeuné avec vous? Vous comprenez, quand le marquis a
Les plans du romancier furent donc bouleversés, ou, tout au moins, resserrés, et l'action de ses personnages devint circonscrite. La fin de l'empire, c'était l'épilogue des Rougon-Macquart en 1870. À raison des événements, l'œuvre entreprise prit donc un caractère rétrospectif. On put même y voir un tardif réquisitoire contre des hommes et contre un régime, qui n'étaient plus des accusés, mais des condamnés. Se faire accusateur, après le verdict des faits, n'était ni dans l'intention de Zola, ni dans son projet ébauché. Sans l'effrondrement subit de la clef de voûte du système, sans la substitution d'un pouvoir nouveau aux gouvernants disparus, engloutis, le cadre de son œuvre se fût trouvé considérablement élargi. Le changement prodigieux qui, avec la République, s'accomplit dans la direction des affaires, dans la classification et la compétition des partis, dans la finance, dans les grands travaux, dans l'industrie, dans les mœurs, dans les goûts et les préoccupations des Français devenus républicains, lui aurait fourni des éléments nouveaux et des champs d'observation autres. Les conséquences, pour la fortune publique comme pour les spéculations privées, du paiement anticipé de l'indemnité de guerre, l'effort et le coup de collier nécessaires pour réparer les ruines de l'invasion, les modifications considérables apportées aux organisations politiques et judiciaires, l'avènement aux affaires de ces nouvelles couches sociales, saluées par Gambetta, dans son discours prophétique de Grenoble, la presse démuselée, le monde du travail commençant
Aux portes de Montaignac seulement, le vieux soldat quitta ses «protégées,» non sans les avoir respectueusement saluées, tant en son nom qu'en celui de ses deux hommes, non sans s'être mis
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