Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 24 juin 2025
«Encore, si c'était de la veuve Windling ou de la grande Salomé Roedig que tu sois amoureux, cela pourrait aller. Il vaudrait mieux te pendre mille fois, que de te marier avec l'une d'elles; mais au moins, aux yeux des gens, un pareil mariage serait raisonnable. Mais être amoureux de la petite Sûzel, la fille de ton propre fermier, une enfant, une véritable enfant, qui n'est ni de ton rang, ni de ta condition, et dont tu pourrais être le père, c'est trop fort! C'est tout
Je n'en ai que cent, et il n'y a aucun roi du monde qui possede des paons comme les miens, mais je vous les donnerai tous. SALOME. Donnez-moi la tete d'Iokanaan. HERODIAS. C'est bien dit, ma fille! Vous, vous etes ridicule avec vos paons. HERODE. Taisez-vous. Vous criez toujours. Vous criez comme une bete de proie. Il ne faut pas crier comme cela. Votre voix m'ennuie.
SALOME. Je suis prete, tetrarque. HERODE. Ah! c'est magnifique, c'est magnifique! Vous voyez qu'elle a danse pour moi, votre fille. Approchez, Salome! Approchez, afin que je puisse vous donner votre salaire. Ah! je paie bien les danseuses, moi. Toi, je te paierai bien. Je te donnerai tout ce que tu voudras. Que veux-tu, dis? Elle est charmante, n'est-ce pas?
Fût-ce la moitié de mon royaume. Comme reine, tu serais très belle, Salomé, s'il te plaisait de demander la moitié de mon royaume. N'est-ce pas qu'elle serait très belle comme reine?... Ah! il fait froid ici! il y a un vent très froid, et j'entends... pourquoi est-ce que j'entends dans l'air ce battement d'ailes? Oh! on dirait qu'il y a un oiseau, un grand oiseau noir, qui plane sur la terrasse. Pourquoi est-ce que je ne peux pas le voir, cet oiseau? Le battement de ses ailes est terrible. Le vent qui vient de ses ailes est terrible. C'est un vent froid... Mais non, il ne fait pas froid du tout. Au contraire, il fait très chaud. Il fait trop chaud. J'étouffe. Versez-moi l'eau sur les mains. Donnez-moi de la neige
Qu'est-ce qui aurait osé peindre, il y a vingt ans, une femme en robe vraiment jaune; ça n'a pu se tenter qu'après la «Salomé» japonaise de Regnault, et cette introduction autoritaire dans l'optique de l'Europe de la couleur impériale de l'Extrême-Orient, oui, c'est une vraie révolution en la chromatique du tableau et de la mode.
Ah! que je deteste les Romains! Ce sont des gens communs, et ils se donnent des airs de grands seigneurs. LE JEUNE SYRIEN. Ne voulez-vous pas vous asseoir, princesse? Pourquoi la regarder? . . . Oh! il va arriver un malheur. SALOME. Que c'est bon de voir la lune! Elle ressemble a une petite piece de monnaie. On dirait une toute petite fleur d'argent.
Taisez-vous, je vous dis . . . Salome, pensez a ce que vous faites. Cet homme vient peut-etre de Dieu. Je suis sur qu'il vient de Dieu. C'est un saint homme. Le doigt de Dieu l'a touche. Dieu a mis dans sa bouche des mots terribles. Dans le palais, comme dans le desert, Dieu est toujours avec lui . . . Au moins, c'est possible.
Dites-lui de venir afin qu'il puisse entendre la voix de celui qui a crie dans les deserts et dans les palais des rois. SALOME. De qui parle-t-il? LE JEUNE SYRIEN. On ne sait jamais, princesse.
Non, non, vous ne voulez pas cela. Vous me dites cela seulement pour me faire de la peine, parce que je vous ai regardée pendant toute la soirée. Eh! bien, oui. Je vous ai regardée pendant toute la soirée. Votre beauté m'a troublé. Votre beauté m'a terriblement troublé, et je vous ai trop regardée. Mais je ne le ferai plus. Il ne faut regarder ni les choses ni les personnes. Il ne faut regarder que dans les miroirs. Car les miroirs ne nous montrent que des masques... Oh! Oh! du vin! j'ai soif... Salomé, Salomé, soyons amis. Enfin, voyez... Qu'est-ce que je voulais dire? Qu'est-ce que c'était? Ah! je m'en souviens!... Salomé! Non, venez plus près de moi. J'ai peur que vous ne m'entendiez pas... Salomé, vous connaissez mes paons blancs, mes beaux paons blancs, qui se promènent dans le jardin entre les myrtes et les grands cyprès. Leurs becs sont dorés, et les grains qu'ils mangent sont dorés aussi, et leurs pieds sont teints de pourpre. La pluie vient quand ils crient, et quand ils se pavanent la lune se montre au ciel. Ils vont deux
Je l'y transportai. Salomé voulut la suivre. Je pris sur moi de lui dire d'un ton absolu que sa maîtresse lui commandait de rester près de la signora Alezia. Je vis la signora rougir et pâlir, tandis que je prenais la rame et que je repoussais avec empressement le perron de marbre qui bientôt sembla fuir derrière nous.
Mot du Jour
D'autres à la Recherche