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Mis à jour: 24 octobre 2025


A tel point, que le chapitre suivant, construit pendant mes vacances fera connaître un lugubre épisode, dont le théâtre était une plante d'alfa. Cette histoire est de celles qui laissent de profondes traces dans l'imagination des lecteurs. Je quitte cependant, avec un profond regret, ce chapitre XV, imbibé des plus saines idées philosophiques.

Le sort des écoles populaires dépend principalement du dévouement éclairé, du zèle et de l'habileté des instituteurs. Pour que les écoles soient bonnes, il ne suffit pas de les placer dans des maisons parfaitement appropriées, dans des salles vastes, saines, bien éclairées et munies de tout ce qui est nécessaire

Ce système, généralement adopté ici, donne des villes beaucoup plus saines que dans le système des grandes agglomérations sur un espace restreint. La mortalité n'est que de 12 pour mille, pendant qu'elle est de 24

Quelques-unes de ces popularités étaient malfaisantes; d'autres étaient saines. Une entre toutes était honnête et fatale; c'était celle de Cimourdain. Cimourdain était une conscience pure, mais sombre. Il avait en lui l'absolu. Il avait été prêtre, ce qui est grave. L'homme peut, comme le ciel, avoir une sérénité noire; il suffit que quelque chose fasse eu lui la nuit.

Je visitai avec soin un établissement d'une triste célébrité, le Spielberg, maison de détention pour les condamnés. C'est l'ancienne citadelle de Brünn, qui a été convertie en prison. Elle est parfaitement tenue, et les prisonniers y sont traités avec beaucoup d'humanité. La nourriture est suffisante et bonne; les chambres sont saines et propres. Personne n'habite plus les cachots, que l'empereur François, quelque temps avant sa mort, avait fait évacuer. Au surplus, de son temps, ils n'avaient rien de malsain; mais ceux qui étaient habités au temps du libéral empereur Joseph, et plusieurs du temps de la clémente Marie-Thérèse, étaient funestes

Le paysan de chez nous, ayant des habitations assez saines en général, vivant en bon air, travaillant avec calme et ne manquant presque jamais de son vin aigrelet et léger qu'il boit sans eau, serait dans les meilleures conditions hygiéniques s'il mangeait tous les jours un peu de viande. Mais, lui qui fournit de boeufs gras les marchés de Poissy, il ne mange de la viande que les jours de fête. Beaucoup n'en mangent jamais. Sa maigre soupe au beurre, son pain d'orge trop lourd, ses légumes farineux, sont une nourriture insuffisante, et ses maladies viennent toutes d'épuisement. Après la fauchaille et la moisson, s'il prend les fièvres, il en a pour des mois entiers. Et alors, pour celui qui n'a que ses bras, vient

Et cette figure presque symbolique, M. Anatole France a su nous la montrer très vivante et très particulière. M. Bonnard est bien un vieux garçon, et qui a des manies de vieux garçon. Il est opprimé par sa vieille servante, qu'il respecte et qu'il craint. Il a un grand nez dont les mouvements trahissent ses émotions. Il a une faiblesse innocente pour les vins loyaux et pour les viandes saines habilement préparées. Il a dans ses façons de parler un brin de pédantisme dont il est le premier

Cependant, j'avais rencontré un muletier se dirigeant vers Oaxaca; ses mules, me disait-il, étaient prêtes et je devais l'accompagner; mais chaque jour, c'était un empêchement nouveau. Je résolus donc de lui laisser mes bagages et de prendre les devants. Il s'agissait d'acheter deux chevaux pour mon domestique et pour moi, deux selles et les divers accessoires; les fonds baissaient; je me défis, en faveur de mon hôte qui accepta pour m'obliger, de mes fusils, de mon révolver, et de deux livres de nitrate qui me restaient encore. Don Julio me procura lui-même deux jolies bêtes, jeunes et saines. Je n'avais plus qu'

Sans être très-éclairé dans les arts, il y portait un sentiment assez sûr, et en toutes choses il avait des notions saines comme ses instincts. Son langage en français se ressentait de sa timidité, au point d'être presque inintelligible et risiblement incorrect au début d'un dialogue; mais, lorsqu'il se sentait

Ses livres qui n'ont corrompu personne et ont mis en joie plusieurs générations? Oh! c'est bien fini de rire, aujourd'hui; le roman d'analyse, le roman psychologique, le roman naturaliste, ont remplacé la Laitière de Montfermeil, Mon voisin Raymond, la Pucelle de Belleville et Monsieur Dupont, oeuvres égrillardes, mais plus saines que la dissection du coeur humain qui fait le fond du roman moderne: c'est la nature même, nous dit-on; et Paul de Kock est un fantaisiste. Fantaisiste pour la forme, c'est possible, mais il ne nous a montré que des personnages foncièrement honnêtes. Et ses grisettes, dira-t-on, étaient-elles honnêtes? Ah! passons-leur l'amant auquel elles restaient fidèles, heureuses d'une gibelotte qu'il leur offrait le dimanche

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marie-chesse

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