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Mis à jour: 8 mai 2025
Scarron, encore mal éveillé, comprit pourtant que lui seul était la cause et l'objet de ce concours tumultueux de gens qui s'armaient pour se mettre
La grande question était de savoir si Louis XVI les favorisait ou non; et il était difficile de croire qu'il ne fût pas très bien disposé en faveur de parens et de serviteurs qui s'armaient pour lui rendre ses anciens pouvoirs. Il ne fallait pas moins que la plus grande sincérité et de continuelles démonstrations pour persuader le contraire. Les lettres du roi aux émigrés portaient l'invitation et même l'ordre de rentrer; mais il avait, dit-on , une correspondance secrète qui démentait sa correspondance publique et en détruisait l'effet. On ne peut sans doute contester les communications secrètes avec Coblentz; mais je ne crois pas que Louis XVI s'en soit servi pour contredire les injonctions qu'il avait publiquement adressées aux émigrés. Son intérêt le plus évident voulait qu'ils rentrassent. Leur présence
A Paris même, il y eut quelques mouvements qui indiquaient un complot en faveur de Louis XVI. Pendant le procès, tandis que des bouches froides et sévères s'ouvraient pour voter la mort de l'accusé, des bras s'armaient dans l'ombre pour le sauver.
Et il s'assit sur le faîte, plein de gloire, regardant la ville des Troiens et les nefs des Akhaiens. Et les Akhaiens chevelus s'armaient, ayant mangé en hâte sous les tentes; et les Troiens aussi s'armaient dans la ville; et ils étaient moins nombreux, mais brûlants du désir de combattre, par nécessité, pour leurs enfants et pour leurs femmes.
Des hommes descendaient avec des marteaux, les femmes elles-mêmes s'armaient de barres de fer; et l'on parlait de crever les générateurs, de briser les machines, de démolir la fosse.
Cependant le rappel battait, les gardes nationaux s'habillaient et s'armaient en hâte, les légions sortaient des mairies, les régiments sortaient des casernes. Vis-
Comme le cabaretier levait son escabelle, il l'ecarta d'un seul revers de la main qu'il avait libre, et passa. Le cabaretier fit quelques pas en chancelant, et ne s'arreta qu'en heurtant la muraille. Une rude poigne! dirent ces dames avec admiration. Les hommes s'armaient de tout ce qu'ils rencontraient sous leurs mains; plusieurs avaient des couteaux.
Puis, deux armées, éclatantes d'airain, entouraient l'autre cité. Et les ennemis offraient aux citoyens, ou de détruire la ville, ou de la partager, elle et tout ce qu'elle renfermait. Et ceux-ci n'y consentaient pas, et ils s'armaient secrètement pour une embuscade; et, sur les murailles veillaient les femmes, les enfants et les vieillards.
Six ans après l'apparition de Jeanne d'Arc devant leurs murs, les Parisiens, réduits par la guerre, la famine et la peste aux dernières extrémités de la misère, et voyant que le duc de Bourgogne s'était réconcilié avec Charles VII pour chasser les étrangers, appelèrent eux-mêmes les royalistes dans leurs murs. Ceux-ci, conduits par un marchand, Michel Lallier, entrèrent par la porte Saint-Jacques, aux acclamations des bourgeois, pendant que les quartiers Saint-Denis et Saint-Martin s'armaient aux cris de: Vive le roi! «Bonnes gens, leur disait le connétable de Richemont en leur serrant la main, le roi vous remercie cent mille fois de ce que si doucement vous lui avez rendu la maîtresse cité de son royaume: tout est pardonné.» Les Anglais se formèrent en trois colonnes pour étouffer la sédition et se dirigèrent sur les halles et les portes Saint-Martin et Saint-Denis: ils furent repoussés par les bourgeois, qui faisaient pleuvoir des flèches et des pierres sur eux, et obligés de se réfugier
Cela dit, il s'en alla sur la place, où la foule s'était dès longtemps rassemblée. Tout le monde avait abandonné le travail des canots, car ce n'était pas une guerre maritime qu'ils allaient faire, mais une guerre de terre ferme. Au lieu de chaloupes et de rames, il leur fallait maintenant des chariots et des coursiers. À cette heure, chacun voulait se mettre en campagne, les vieux comme les jeunes; et tous d'après le consentement des anciens, le kochévoï et les atamans des kouréni, avaient résolu de marcher droit sur la Pologne, pour venger toutes leurs offenses, l'humiliation de la religion et de la gloire cosaque, pour ramasser du butin dans les villes ennemies, brûler les villages et les moissons, faire enfin retentir toute la steppe du bruit de leurs hauts faits. Tous s'armaient. Quant au kochévoï, il avait grandi de toute une palme. Ce n'était plus le serviteur timide des caprices d'un peuple voué
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