Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 26 juin 2025
Le soleil baissait vers l'horizon, inondant de clarté les plaines verdoyantes, tachées de place en place par l'or des colzas en fleur, et par le sang des coquelicots. Une quiétude infinie planait sur la terre tranquille où germaient les sèves. La carriole allait grand train, le paysan claquant de la langue pour exciter son cheval.
Sa critique est positive; il exalte le sujet de son analyse; il dit les signifiances; obscurément voulues par le peintre et, ce disant, recompose très souvent une oeuvre un peu différente, par les tendances nouvelles qu'il y trouve, de celle qu'il a eue sous les yeux: ainsi, dans son étude sur Henry de Groux, un grandiose pendu nous apparaît, plus grandiose encore et plus lamentable aussi, parmi le renouveau luxuriant des sèves, que le grandiose et lamentable bonhomme du peintre de la Violence.
J'appris la conformation exacte des deux sexes; de quelle façon s'accomplissait l'union; avec quelles sèves précieuses étaient atteints les buts naturels et humains, la perpétuation du genre humain et la plus forte volupté terrestre; et pourquoi la société voile ces choses et les entoure avec tant de mystères. J'appris encore que, malgré tous les dangers qui les entourent, les deux sexes peuvent quand même atteindre un assouvissement presque complet. Elle me mit en garde contre les suites malheureuses auxquelles une jeune fille s'expose en s'abandonnant toute. Ce que ma main inhabile lui avait procuré et ce que mon cousin avait fait étaient de ces assouvissements presque complets. Bien qu'elle eût connu toutes les joies de l'amour dans les bras d'un jeune homme vigoureux, elle était complètement satisfaite en se bornant aux joies qu'elle pouvait se donner elle-même, car elle avait eu un enfant et elle avait connu tous les malheurs d'une fille-mère. Elle me montra par l'exemple de sa vie qu'avec beaucoup de prudence et de sang-froid on pouvait s'adonner
Et voici, très abrégée, la «réplique» lamartinienne: L'air tiède et parfumé d'odeurs, d'exhalaisons, Semblait tomber, avec les célestes rayons, Encor tout imprégné d'âme et de sèves neuves, Comme l'air virginal qui vint fondre les fleuves Du globe enseveli dans son premier hiver, Quand la vie et l'amour se respiraient dans l'air... . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Et les herbes, les fleurs, les lianes des bois S'étendaient en tapis, s'arrondissaient en toits, S'entrelaçaient aux troncs, se suspendaient aux roches, Sortaient de terre en grappe, en dentelles, en cloches, Entravaient nos sentiers par des réseaux de fleurs, Et nos yeux éblouis dans des flots de couleurs. La sève, débordant d'abondance et de force, Coulait en gomme d'or des fentes de l'écorce, Suspendait aux rameaux des pampres étrangers, Des filets de feuillage et des tissus légers, Où les merles siffleurs, les geais, les tourterelles, En fuyant sous la feuille, embarrassaient leurs ailes; Alors tous ces réseaux, de leur vol secoués, Par leurs extrémités d'arbre en arbre noués, Tremblaient, et sur les pieds du tronc qui les appuie, De plumes et de fleurs répandaient une pluie... . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Chaque fois que nos pieds tombaient dans la verdure, Les herbes nous montaient jusques
Mot du Jour
D'autres à la Recherche