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Mis à jour: 13 juin 2025
«Hé! hé!... soutenons-nous, Chatillon! s'écrie Son Altesse titubant. Je crois que nous avons un peu bu! réplique Yvernès, qui s'essuie le front. Bon, messieurs les Parisiens, observe l'Américain, une fois n'est pas coutume!... Il fallait arroser votre bienvenue... Et nous avons épuisé l'arrosoir!» réplique Pinchinat, qui en a pris sa bonne part et ne s'est jamais senti de si belle humeur.
Pas un détail que ma mémoire ne me rabâche. Les plus futiles sont les plus acharnés. Le revers de la main dont le charron s'essuie le front et rejette en arrière sa casquette de soie; la couleur saurette de ses bragues rapiécées, la camisole rose de la petite, les turquoises de ses boucles d'oreille. Une touffe de pensées qui expiraient, dans un verre d'eau sur le comptoir. L'odeur de la pipe.
Elle se lève, va prendre un mouchoir, s'essuie et se rapproche de l'instrument; elle veut se rasseoir; et, comme si le peu de hauteur du siége l'eût tenue ci-devant dans une attitude trop gênée, elle prend le livre qui était sur son pupitre, le met sur le tabouret, s'assied et prélude de nouveau.
L'empereur s'éveille: il appelle Pilade, son valet de chambre, et lui demande ses habits. Suit la description très-détaillée de la toilette de l'empereur. Aucune partie des vêtemens n'est oubliée, ni la chemise du lin le plus fin et le plus blanc, ni le corselet de drap d'or, ni les chaussettes de soie, ni les souliers de velours couleur de rose. On lui apporte de l'eau dans une aiguière de crystal, sous laquelle est un grand vase de l'or le plus pur. Il se lave les mains et le visage, et s'essuie avec une serviette blanche brodée tout alentour. Un écuyer fidèle peigne sa blonde chevelure ondoyante, et ajuste sur sa tête le bonnet impérial et la couronne enrichie de perles et d'or. Ce n'est pas tout, il met sur le corselet un vêtement de velours ras cramoisi, richement brodé autour du cou et tout alentour des bords. Ce vêtement est serré par une belle ceinture, et le tout est recouvert d'un manteau magnifique de drap d'or, qui traîne
«Ton père pour la vie qui t'embrasse...» Je lis tout d'une haleine, pendant que Catherine, qui s'est laissé tomber sur une chaise, sanglote dans ses deux mains. Tout d'un coup, elle se lève et s'essuie les yeux. Monsieur Jean, voulez-vous me donner la lettre? Montrez-moi où il y a les deux cochons gras
Mais qu'arrive-t-il quand on a terminé la lecture d'une telle oeuvre? On jette le roman, dégoûté et furieux contre soi-même. Quoi! on a pu perdre son temps dans cette fièvre de curiosité malsaine! On s'essuie la face comme un joueur qui s'échappe d'un tripot. Et, au théâtre, la sensation est la même. Interrogez le public qui sort, par exemple, d'une représentation de la Tour de Nesle. Sans doute, la soirée a été remplie, et tout ce monde s'est passionné. Mais, au fond de chacun, il y a un grand vide, de la lassitude et de la répugnance. Les plus grossiers sentent un malaise, comme après une partie de cartes trop prolongée. Rien n'a parlé
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