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Mis à jour: 29 mai 2025
Il y avait une fois un roi et une reine qui s'aimaient si fort, si fort, qu'ils faisaient la félicité l'un de l'autre. Leurs coeurs et leurs sentiments se trouvaient toujours d'intelligence; ils allaient tous les jours
Josiane et David étaient en coquetterie avec une nuance particulière. Ils ne s'aimaient pas, ils se plaisaient. Se côtoyer leur suffisait. Pourquoi se dépêcher d'en finir? Les romans d'alors poussaient les amoureux et les fiancés
Il y avait une fois un roi et une reine qui s'aimaient si fort, si fort, qu'ils faisaient la félicité l'un de l'autre. Leurs coeurs et leurs sentiments se trouvaient toujours d'intelligence. Ils allaient tous les jours
Victorine, en servante que sa douleur faisait l'égale de ses maîtres, osa l'interrompre. Ah! monsieur le docteur, ils s'aimaient trop tous les deux, est-ce que ça ne suffit pas pour mourir ensemble?
Le roi, père du prince, fit couronner son fils ce même jour; et, lui baisant la main, le plaça sur son trône, malgré la résistance de ce fils bien né: mais il lui fallut obéir. Les fêtes de cet illustre mariage durèrent près de trois mois; mais l'amour de ces deux époux durerait encore, tant ils s'aimaient, s'ils n'étaient pas morts cent ans après. [Note 8:
Il était une fois un roi et une reine dont l'union était parfaite; ils s'aimaient tendrement, et leurs sujets les adoraient; mais il manquait
Les deux femmes, la grand'mère et la petite-fille, autrefois si unies, et qui s'aimaient si tendrement, quoique habitant ensemble, vivaient, pour ainsi dire, séparément.
Nos lecteurs savent que le bourgmestre avait une fille, Mlle Suzel. Mais, si perspicaces qu'ils soient, ils n'ont pu deviner que le conseiller Niklausse avait un fils, M. Frantz. Et, l'eussent-ils deviné, rien ne pouvait leur permettre d'imaginer que Frantz fût le fiancé de Suzel. Nous ajouterons que ces deux jeunes gens étaient faits l'un pour l'autre, et qu'ils s'aimaient comme on s'aime
«Et cependant les deux jeunes gens ne s'étaient jamais dit qu'ils s'aimaient. Ils avaient poussé l'un
Nous nous marierons, nous nous aimerons toujours, nous ne nous quitterons jamais plus. Elle n'en doutait pas, cela s'accomplirait dès le lendemain, avec cette aisance des miracles de la Légende. L'idée du plus léger empêchement, du moindre retard, ne lui venait même point. Pourquoi, puisqu'ils s'aimaient; les aurait-on séparés davantage? On s'adore, on se marie, et c'est très simple.
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