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Le bercement rythmique du vers est fait, comme tout rythme, pour engourdir la réflexion. «Valse mélancolique et langoureux vertige», il empêche l'esprit de trop suivre ses idées.

Georges ne se le fit pas dire deux fois. Il invita Mlle Thérèse, et tous deux, d'un pas bien rythmé, sans raideur et sans pose, se mirent

Il déborde si naturel, avec des gazouillements si frais, un rythme si limpide, le rire

Mais pour que ces progrès dans le rythme poétique soient possibles, il sera indispensable que la mesure des vers soit notée de quelque manière. Actuellement les poètes dédaignent de le faire. Nous indiquer comment nous devons scander leurs vers, quel enfantillage! L'oreille, semble-t-il, doit suffire. Oui, elle suffit, pour les rythmes très simples, très connus, très uniformes, qui ont été jusqu'ici usités. Mais déj

Aux images intrépides et rutilantes, aux transports véhéments, correspond un rythme heurté, plutôt irrespectueux de la syntaxe (nous avons noté,

Il s'approcha encore de Pardaillan et il perçut le bruit rythmé de sa respiration. «Il dortfit-il.

La valse était l'exercice dominant; elle commençait toujours par une promenade au pas rythmé, pendant laquelle on pouvait causer avec sa danseuse et faire une espèce de connaissance. On jouait les valses de Strauss, alors dans toute leur nouveauté. Il n'y avait l

Pierre a trente ans, sur lesquels dix ans inutiles. Le vide des choses lui pèse. Il a défendu la liberté et on l'a mis en prison; il a fait la guerre et il a vu que c'était la boucherie; il a cherché des héros et n'a trouvé que des hommes. Las du terrestre, un peu écoeuré, un peu endolori, il s'est réfugié dans l'immatériel. Il aime des idées, pas beaucoup, quelques-unes, l'art, la patrie, le rythme, le sacrifice. Pour cela, on dit de lui: «C'est un rêveurLes malheureux rivés

Un matin nous partons, le cerveau plein de flamme, Le coeur gros de rancune et de désirs amers, Et nous allons, suivant le rythme de la lame, Berçant notre infini sur le fini des mers: Les uns, joyeux de fuir une patrie infâme; D'autres, l'horreur de leurs berceaux, et quelques-uns, Astrologues noyés dans les yeux d'une femme, La Circé tyrannique aux dangereux parfums.

C'est encore drôle! parle-lui en au déjeuner. Oui, je lui en parlerai. Quelques instants après, le fermier et ses garçons jouaient de la faulx avec le géant: et c'était beau d'entendre le bruit sonore et rythmé de l'acier que répétaient les échos d'alentour! A huit heures, la vieille fermière alla avertir les travailleurs que le déjeuner était prêt, et tous revinrent