Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 31 mai 2025
Le corps entier du poulain lui apparut brillant et resplendissant comme une lampe; mais la lumière qui en jaillissait s'affaiblit instantanément, et puis s'éteignit comme par l'effet du simple regard de Roushan. Il eut peur, et, refermant précipitamment la petite ouverture, il retourna vers son père, auquel il ne dit rien de ce qui était arrivé. Le lendemain, juste
Alors, transporté de rage, le prince ordonna que Mirza-Serraf eût les yeux crevés. Cette sentence fut immédiatement exécutée. Un fer rouge fut appliqué sur le globe des yeux de l'infortuné Mirza, qui fut ainsi privé pour jamais de la lumière. Aveugle et désolé, il fut reconduit dans sa maison. Son fils unique Roushan, jeune homme de dix-neuf ans, étudiait alors
Mir-Ibrahim pria Kourroglou de rester avec Ayvaz pendant qu'il irait chercher l'argent. Quand ils se trouvèrent seuls, Ayvaz s'assit sur un siège plus élevé que Kourroglou; Ayvaz se leva et prit dans une niche une bouteille et un verre qu'il plaça devant lui, et alors, relevant ses manches jusqu'au coude, il remplit son gobelet de vin et le vida. Kourroglou n'avait pas bu de vin depuis quelque temps; son coeur battait avec violence; il contemplait tendrement l'heureux buveur, et se léchait les lèvres. Ayvaz dit: «Roushan, mon oncle, pourquoi lèches-tu ainsi tes lèvres?» Kourroglou répliqua: «Que je devienne ton esclave! O phénix du paradis! quelle est cette liqueur rouge que tu bois?» Ayvaz dit: «N'en as-tu encore jamais vu, mon oncle? Cela s'appelle du vin.» Kourroglou reprit: «Mon fils, mon petit-fils, remplis-en un verre pour moi, et laisse-moi le boire.» Ayvaz dit alors: «Ce breuvage a cette mauvaise qualité, qu'il rend fous ceux qui en boivent. Comment cela?» Ayvaz répliqua: «Donnez-en seulement une once
Une seconde imprudence de Kourroglou cause l'éternelle douleur et la mort de son père. On se rappelle qu'il devait lui rapporter dans un vase l'écume d'une source mystérieuse; mais l'écume le tente, il la boit, et le père ne reverra plus la lumière des cieux. «A partir de ce jour, tu n'es plus Roushan, dit le magicien, tu es Kourroglou, le fils de l'aveugle,» c'est-
Quand la nuit désignée fut venue, Roushan remplit toutes les instructions de Mirza-Serraf, et déj
Mot du Jour
D'autres à la Recherche