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Mis à jour: 3 juillet 2025


Cependant, Ed, ou pour lui donner son vrai nom, Joë Carnes, le fameux voleur de chevaux, se débattait avec une violence désespérée, et si Allen n'eût été d'une force bien supérieure, l'issue du combat aurait été douteuse. Aidez-moi, Alice! s'écria-t-il haletant; par ici! roulez ce lien autour de ses bras: bon! serrez fort! plus fort encore! un bon noeud maintenant! Employez toutes vos forces!

C'est moi, la montreuse, brave homme; mais la fillette ne me doit rien de rien. Roulez votre bosse, voulez-vous? car nous ne sommes pas ici pour flâner. Il y a, continua Germain, bien des choses que je ne comprends pas. Monsieur Remy m'avait défendu de faire aucune démarche, pour vous joindre, avant un mois écoulé, mais il avait ajouté: «Elle viendra d'elle-même; je suis sûr qu'elle viendra

Que si les bons Hindous font parfois un pas vers Lamartine, plus souvent c'est Lamartine qui fait un pas vers eux. À de certains moments, ébloui par la splendeur du monde, il oublie la distinction prudente entre le signe et l'Être signifié, et adore expressément, sans doute par inadvertance, la Nature-Dieu. Il s'écrie dans l'Hymne du matin: Montez donc, flottez donc, roulez, volez, vent, flamme, Oiseaux, vagues, rayons, vapeurs, parfums et voix! Terre, exhale ton souffle! Homme, élève ton âme! Montez, flottez, roulez, accomplissez vos lois! Montez, volez

Allons, vieille pratique, ne criez donc pas toujours misère, ou je croirai que vous roulez sur l'or, interrompit Guiller; vous pouvez compter les bouchées, pourvu que vous ne comptiez pas les petits verres.... En route la bouteille de vin de feu. Le cordier parut embarrassé.

Ce fruit merveilleux de la gloire qui flotte devant vous comme le repas de Tantale, ce rocher du feuilleton que vous roulez incessamment comme Sisyphe, cette nue éclatante qui s'appelle la popularité, et que vous étreignez comme Ixion entre vos bras avides, il ne les connaît pas, si bien que ce fortuné gaillard passe comme vous depuis vingt ans

Brumes mornes d'hiver, mélancoliquement Et douloureusement, roulez sur mes pensées Et sur mon cœur vos longs linceuls d'entendement Et de rameaux défunts et de feuilles froissées Et livides, tandis qu'au loin, vers l'horizon, Sous l'ouatement mouillé de la plaine dormante, Parmi les échos sourds et souffreteux, le son D'un angélus lassé se perd et se lamente Encore et va mourir dans le vide du soir, Si seul, si pauvre et si craintif, qu'une corneille, Blottie entre les gros arceaux d'un vieux voussoir, A l'entendre gémir et sangloter, s'éveille Et doucement répond et se plaint

C'est fort bien; mais, si vous roulez par le coté du précipice, si je ne vous entends pas marcher sur mes talons, il faudra que je me retourne ou que je sois inquiet, ce qui me dérangera dans ma contemplation, et m'ennuiera beaucoup, je vous en avertis. Voyons, dit-elle en riant, il y a moyen de s'arranger.

Décidément, cela n'ira point, dit Aramis; monsieur Le Brun, fermez vos boites et roulez vos toiles. Mais c'est qu'aussi, monsieur, s'écria le peintre dépité, le jour est détestable ici. Une idée, monsieur Le Brun, une idée! Si on avait un échantillon des étoffes, par exemple, et qu'avec le temps et dans un meilleur jour... Oh! alors, s'écria Le Brun, je répondrais de tout.

J'aime ton orgueil de géant Et ta puissance révoltée, Et ton désespoir effrayant De te voir soudain arrêtée: Toi qui semblais illimitée, Contre qui nul frein n'est puissant. Déferlez, vagues bondissantes! J'aime vos clameurs menaçantes; Roulez sous le vent qui vous tord. Votre voix, comme un bruit de mort, Domine,

Monsieur Bertuccio, dit le comte, je suis fort aise de vous dire que, tout en gesticulant, vous vous tordez les bras, et que vous roulez des yeux comme un possédé du corps duquel le diable ne veut pas sortir; or, j'ai presque toujours remarqué que le diable le plus entêté

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