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Mme de Rosbourg embrassa tendrement Mme de Fleurville; elle exprima toute la reconnaissance que lui inspiraient la tendresse et les soins de Camille et de Madeleine, et se promit tout bas de la leur témoigner

Mme de Fleurville et Mme de Rosbourg travaillaient dans le salon quand les enfants et

Vous êtes donc du château? Oui, je suis Marguerite de Rosbourg; et voil

Mmes de Fleurville et de Rosbourg dirent un dernier adieu

PAUL. C'est d'abord qu'un jour mon père a été piqué par un serpent et que les sauvages l'ont guéri; et puis que mon pauvre père a fait une longue maladie et que les sauvages l'ont encore guéri. M. DE ROSBOURG. Voyez, mes amis, si j'ai raison d'aimer mon Paul comme j'aime ma Marguerite. Il m'a deux fois sauvé du désespoir, de la mort du coeur.

Toutes trois coururent au salon, travaillaient Mme de Fleurville et Mme de Rosbourg. Maman, maman, madame, les pauvres hérissons! ce méchant Nicaise va les tuer! La pauvre mère est morte! Il faut les sauver, vite, vite! Qui? Qu'est-ce? Qui tuer? Qui sauver? Pourquoi «méchant Nicaise»? Il faut aller vite. C'est Nicaise. Il ne nous écoute pas. Ces pauvres petits!

Pourquoi? pour qu'elle ne te croie plus coupable. Elle me fouettera, je le sais; mais ne l'aurai-je pas mérité?» A ce moment, Mme de Rosbourg sortit de la serre

Mme de Rosbourg tira de sa poche une boîte, qu'elle donna

M. DE ROSBOURG. C'est-

Il mit sur la blessure un certain onguent de colimaçons, recouvrit le tout de feuilles de laitue qu'on devait changer toutes les heures, recommanda la plus grande tranquillité, et promit de revenir le lendemain. Marguerite venait voir sa mère plusieurs fois par jour; mais elle ne restait pas longtemps dans la chambre, car sa vivacité et son babillage agitaient Mme de Rosbourg tout en l'amusant.