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Mis à jour: 27 juin 2025
Je ne veux pas dire en ce moment... mais toujours? Toujours. Ma tante de la Roche-Jugan vous traite durement? Sans doute. Elle craint que je ne séduise son fils... Oh! grand Dieu! Les petites Tonnelier sont jalouses de vous?... et mon oncle Tonnelier... vous tourmente, n'est-ce pas? Indignement, dit-elle. Et deux larmes jaillirent de ses yeux comme deux diamants.
Elle sortit sur-le-champ, courut chez elle, et, y trouvant sa mère, elle lui répéta les horribles paroles qu'elle venait d'entendre. Sa mère essaya de la calmer; mais elle était elle-même bouleversée. Elle se rendit aussitôt chez madame de la Roche-Jugan, elle la supplia d'avoir pitié d'elles, de rétracter son abominable propos ou de l'expliquer plus clairement. Elle lui fit entendre qu'elle en instruirait au besoin M. de Camors, et qu'elle ne répondait pas qu'il n'en vînt demander compte
Le lendemain, en sortant de l'église Saint-Thomas d'Aquin, la jeune marquise ne fit que changer sa toilette de mariée contre un costume de voyage, et elle partit aussitôt avec son mari pour Campvallon, baignée des larmes de madame de la Roche-Jugan, qui avait les glandes lacrymales excessivement tendres et dociles.
Il s'informa, et put enfin recevoir les embrassements de sa tante, qui s'était réfugiée dans la chambre de son fils, lequel avait été relégué dans la chambrette occupée en d'autres temps par mademoiselle d'Estrelles. Madame de la Roche-Jugan, après les premiers épanchements, introduisit son neveu dans le salon où étaient étalées toutes les pompes de la corbeille.
Il me semble que vous êtes grandement majeur... Et puis quelle famille? Votre tante de la Roche-Jugan? Sans doute... encore ne voudrais-je pas la blesser. Ah! mon Dieu! supprimez cette inquiétude... Je vous déclare qu'elle jubilera. Parce que? J'ai mes raisons.
Mais cette chambre n'était plus celle de madame de la Roche-Jugan. Cette digne femme avait absolument voulu la céder
Elle ne s'était pas méprise, d'ailleurs, sur l'origine de la lettre. Ce honteux chef-d'œuvre était bien le fait de madame de la Roche-Jugan. Pour lui rendre justice, madame de la Roche-Jugan n'avait pas soupçonné toute la portée du coup qu'elle frappait. Elle-même croyait
Cette révélation, si prévue qu'elle pût être, atterra madame de la Roche-Jugan, qui vit ses projets maternels décidément renversés pour jamais. Au sentiment amer de cette déception se joignit aussitôt dans cette âme vile le désir furieux de se venger.
La conduite de madame de la Roche-Jugan fut plus noble. Elle déclara qu'elle servirait de mère
Madame de la Roche-Jugan avait imaginé une singulière façon de faire sa cour au général, c'était de lui persuader qu'il avait une maladie de cœur. Elle lui touchait le pouls
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